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Mis à jour: 25 mai 2025


Quelques censeurs sévères et fort mal instruits se sont parfois demandés comment Beyle qui montre un si juste enthousiasme pour Mozart et l'apprécie avec tant de justesse peut ensuite s'engouer aussi facilement de Rossini. Certes il se plaît

Voici, je crois, tout le mystère. Il avait reçu de la nature, avec une volonté très forte, un don merveilleux d'observation, et, comme on dit aujourd'hui, de dédoublement. Il crut que, en mettant cette faculté d'analyse au service de sa volonté, il augmenterait la puissance de celle-ci. Mais c'est le contraire qui est arrivé. En s'observant toujours pour mieux agir, il n'agissait plus que faiblement. Il faut être très ignorant de soi pour être vraiment fort, et il faut aussi savoir s'arrêter dans la connaissance ou, du moins, dans l'étude des autres. Bonaparte avait sur les hommes des notions nettes, mais sommaires. Beyle nous dit lui-même: «Je m'arrêtais trop

En dehors de ces sensations un peu brutes, et, chronologiquement, après elles, l'ouïe du jeune Beyle n'est réellement enchantée que lorsqu'il entend le Traité Nul de Gaveau, qu'il devait juger plus tard «si sautillant, si filet de vinaigre, si français», mais dont il raffole toute une saison aux alentours de sa quinzième année.

Elle n'était pas belle, ni même jolie; cependant sa physionomie était de celles qu'on n'oublie guère, et qui frappent du coup de foudre de Beyle. Son front était un peu haut et sa bouche trop grande, malgré la provocante fraîcheur des lèvres. Ses sourcils étaient comme dessinés

Il est peut-être plus inattendu de voir encore Beyle préférer l'opera-buffa

Mais ce que j'ignorais et ce que votre Préface m'apprend, c'est que le sceptique le plus résolu et le plus cynique du siècle, Beyle, l'auteur le plus spirituel de ces derniers temps, l'homme en apparence le plus antipathique

Bien entendu Beyle ne saurait goûter que la musique romantique et son goût ressort de sa définition même, puisque dans cet art charmant, pose-t-il en principe, nous avons la bonne habitude de n'applaudir que ce qui nous fait plaisir. Et chez tous les auteurs qu'il aime, il loue indistinctement leur style moderne.

«Ce même Beyle, quelques mois après et au lendemain de la révolution de Juillet, nommé consul

L'Italie, que revoit Beyle en 1811, redevient tout naturellement pour lui la terre de la musique. Les impressions de sa dix-huitième année se réveillent dès qu'il repose le pied dans cette divine Scala que l'éloignement même avait parée de tant d'agréments. Il commence

Beyle pillait les revues anglaises sans avouer ses emprunts et attribuait aux autres ses propres écrits. Il admirait les supercheries littéraires et recommandait aux Anglais les Poésies de Clotilde de Surville et le Théâtre de Clara Gazul .

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affublée

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