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Mis à jour: 17 juillet 2025
Naturellement Berryer devait se défendre lui-même. Il prononça une seule phrase. Mais cette phrase suffit
M. de Breulh est-il prévenu? Oui. Il viendra ici? Cette nuit. Alors, je vois que l'assemblée sera sérieuse. Il va en sortir la paix ou la guerre. Et Berryer? Berryer de même. Diable! Tu n'en as pas encore un troisième
Il n'y a qu'un témoin: un sieur Chartier, qui prétend que Berryer l'a chargé de corrompre des officiers de l'armée.
Heureusement, un ancien ami de mon père, M. le marquis de Rieux voulut bien être mon protecteur. Avant de mourir, il me donna plusieurs lettres d'introduction auprès de ses amis de Paris, M. Berryer, M. Hyde de Neuville et M. de Puiseux, votre père, dont il ignorait la fin. Madame de Sergaz s'arrêta.
Mais l'honorable M. Berryer vous disait hier: Jamais la France ne s'accommodera de la démocratie! A DROITE. Il n'a pas dit cela! UNE VOIX A DROITE. Il a dit de la république. M. DE MONTEBELLO. C'est autre chose. M. MATHIEU BOURDON. C'est tout différent. M. VICTOR HUGO. Cela m'est égal! j'accepte votre version. M. Berryer nous a dit: Jamais la France ne s'accommodera de la république.
Une grande et bonne nouvelle qui, je l'espère, sera bien accueillie de Votre Altesse. Oh! parlez! parlez! A cette heure, Madame, notre grand Berryer doit être acquitté. Acquitté! Oui, madame. Dieu soit loué! Mais comment le savez-vous? En êtes-vous certain? Autant, Madame, qu'on peut l'être d'une chose dont on ignore le résultat. Mais alors... Que Votre Altesse daigne m'écouter. Soit.
Berryer (ceci soit dit
Le vrai pardon se fit encore attendre trois ans. Au mois de septembre 1840, Musset se rendait chez Berryer, au château d'Augerville. Il traversa la forêt de Fontainebleau en voiture, dans une muette contemplation des fantômes qui se dressaient devant lui
«Monsieur , «Je serois ingrat de toutes les bontés que vous me témoignez, si je ne vous faisois voir ma reconnoissance en toute rencontre. Vous saurez, monsieur, qu'il y a une femme qui dit que son mari est mort au service de monseigneur le surintendant, qui vous charge de mille imprécations et qui dit que vous êtes la cause qu'elle n'a point de satisfaction de mondit seigneur. M. Berryer se plaint pareillement de vous et dit qu'il vous a donné pour près de huit
M. ODILON BARROT. Nous avons combattu le suffrage universel; il n'y a qu'un membre de la droite qui l'ait proposé. M. BERRYER. C'est moi. Je demande la parole. M. GAETAN DE LA ROCHEFOUCAULD. M. Maréchal l'a aussi proposé. M. GUIZOT. Je pourrais citer M. de Lafayette, M. Maréchal, qui ont professé cette opinion.
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