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Mis à jour: 4 mai 2025
Ce fut un si joli spectacle de les voir, elle et lui, valser en tourbillonnant, que tout le monde applaudit comme si on eût entendu chanter la Patti et jouer Sarah Bernhardt. Laure s'indigna. Me prend-on pour une comédienne? Je valse pour moi et non pour la galerie.
Il est question de l'amusant «Dialogue des Vivants» entre Sarah Bernhardt et Renan, du distingué morceau sur le monde, par Hervieu, du philosophique morceau de Geffroy, intitulé: les Deux Calendriers, etc., etc.
Ce que j'ai voulu établir nettement, c'est ce que j'énonçais au début: ce n'est pas madame Sarah Bernhardt comédienne, ce n'est pas nous artistes, romanciers, poètes, qui sommes pris de cette rage de réclame; c'est le reportage, c'est la chronique qui, depuis cinquante ans, ont changé les conditions de la réclame, décuplé les appétits curieux du public, soulevé autour des personnalités en vue cet orchestre formidable de l'information
[Illustration: Mme SARAH BERNHARDT DANS UN DRAME DE M. TRISTAN BERNARD. Jeanne Doré, portant déj
Si l'on essayait de démêler les causes de ce puissant attrait que Mme Sarah Bernhardt exerce sur un grand nombre d'entre nous, je crois qu'on en verrait jusqu'
Pendant huit ans, madame Sarah Bernhardt a été l'idole de la presse et du public. Il n'est pas d'hommage qu'on ne lui ait rendu; on l'a couverte de bravos et de couronnes. Je crois que, pendant ces huit années, on ne trouverait pas une seule attaque contre elle, partant d'un homme ayant quelque autorité. Il semblait qu'on eût signé un pacte pour la trouver parfaite. Paris était
Je sais bien qu'il y a d'autres éléments encore dans le talent de Mme Sarah Bernhardt; mais ce n'est point le talent que j'ai voulu expliquer, c'est l'attrait, et je n'en parle, bien entendu, que pour ceux qui le sentent. DANS F
On applaudit le monologue; on écouta diverses chansons d'artistes de l'Opéra-Comique et des Bouffes, une poésie d'Alfred de Musset par Sarah Bernhardt, un solo de violoncelle par Mlle Galitzin, et vers onze heures, on vit paraître la Stradowska, en robe de satin blanc, longuement gantée de noir, les épaules nues, et sans autre parure qu'un collier de saphirs.
Et je songe avec tristesse que, si un photographe appliqué pouvait, par un jeu savant de lignes, insérer dans la tête de mort la silhouette de la belle-mère au lieu du profil de Sarah Bernhardt, il aurait «transposé» fort exactement le sonnet de M. Soulary: il aurait fait en art ce que M. Soulary a fait en poésie. Ce serait aussi spirituel; ce serait de même qualité et de même hauteur.
Et cet air de princesse de conte, de créature chimérique et lointaine, Mme Sarah Bernhardt l'exploite merveilleusement. Elle se costume et se grime
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