Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 23 juillet 2025
Après avoir parcouru livres et feuilletons de Berlioz, nous gardons le souvenir d'un chaos d'invectives et de dithyrambes, d'un étrange pêle-mêle de folie et de bon sens, d'amour et de haine, d'emphase et d'esprit, mais où rien ne ressemble
Aux premiers mots du directeur, Dessauer se tournant vivement vers moi, me dit: « Oh! Berlioz, ne faites pas cela. Vous l'entendez,» dis-je
Berlioz a pu lâcher cette méchanceté dans un instant d'humeur. Ce n'était point son opinion intime. Tels passages de ses œuvres (ce ne sont pas les meilleurs), notamment le finale de la Réconciliation, théâtral épilogue de la belle symphonie de Roméo et Juliette, prouveraient que l'admiration de Berlioz pour Meyerbeer ne fut que trop réelle... Mais, rien qu'
Tel fut Berlioz critique. Dans ses premiers feuilletons, il laissait encore traîner des expressions qui sentaient le professionnel; mais il s'aperçut vite que le pédantisme est le pire défaut d'un journaliste, et que, si l'on veut former ou réformer le goût du public, l'essentiel est d'émouvoir les imaginations, d'inspirer l'horreur du médiocre et l'amour des chefs-d'œuvre. Berlioz donna donc libre carrière
Je n'ai rien dit de l'attitude de Berlioz
Oh! Berlioz! Berlioz! Oh! cette tête! Oh! ces cheveux! Oh! ce nez! Dis-donc, Jalay, il t'enfonce joliment pour le nez! Et toi, il te recale fièrement pour les cheveux! Mille dieux! quel toupet!
Berlioz naquit avec le don de l'écrivain. Ses premiers articles, après son retour de Rome, ont déj
Dès 1835, les journaux annoncèrent que Berlioz s'occupait d'écrire un opéra sur un livret d'Alfred de Vigny; il s'agissait de Benvenuto sans doute, qui ne parut sur la scène que trois ans plus tard. En France, tout compositeur qui n'aborde pas le théâtre est condamné
Mon maître bien-aimé, Ambroise Thomas, s'avança et me dit: «Embrassez Berlioz, vous lui devez beaucoup de votre prix!». «Le prix! m'écriai-je avec effarement, et la figure inondée de joie, J'ai le prix!!!...» J'embrassai Berlioz avec une indicible émotion, puis mon maître, et, enfin, M. Auber...
La suite des feuilletons de Berlioz forme donc une histoire complète de la musique
Mot du Jour
D'autres à la Recherche