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Mis à jour: 27 juin 2025
Asseyez-vous et mangez, dit M. Bergeret. Il y a du poulet et diverses autres choses. Papa, c'est vrai que nous allons habiter Paris? Le mois prochain, ma fille. Tu en es contente? Oui, papa. Mais je serais contente aussi d'habiter la campagne, si j'avais un jardin. Elle s'arrêta de manger du poulet et dit: Papa, je t'admire. Je suis fière de toi. Tu es un grand homme.
C'est tout ce qui subsiste d'un passé glorieux. Elle nous console du présent et nous fait espérer en l'avenir. M. Bergeret aurait pu faire quelques observations d'ordre historique; mais il ne les fit pas, et M. Panneton de la Barge conclut: Voil
La guerre! réplique M. Bergeret. Il est visible que les grands armements la retardent en la rendant trop effrayante et d'un succès incertain pour l'un et l'autre adversaire. Quant
M. Bergeret sourit
Et ma chambre? demanda mademoiselle Zoé. Tu ne t'occupes jamais de ma chambre. D'ailleurs... Elle n'acheva pas, tenant peu de compte du rapport que lui faisait son frère. Peut-être serons-nous obligés de nous loger dans une maison neuve, dit M. Bergeret, qui était sage et accoutumé
Après tout, dit M. Bergeret, c'est le sort commun des sages de vivre sous les toits. La science et la méditation sont, pour une grande part, renfermées dans des greniers. Et,
M. Bergeret s'approcha de la malle et dit: Ainsi l'enfant Comatas, qui soufflait dans sa flûte en gardant les chèvres de son maître, fût enfermé dans un coffre. Il y fut nourri de miel par les abeilles des Muses. Mais toi, Riquet, tu serais mort de faim dans cette malle, car tu n'es pas cher aux Muses immortelles.
Et pourquoi, demanda M. Bergeret, un M. Dupont n'habiterait-il point la maison des Tintelleries qui porte le numéro 38? Cette supposition n'est point absurde. Le nom de Dupont est commun en France, et la maison que je dis est
La revision, vous ne l'aurez pas. Ce serait la guerre. Trois ministres et vingt députés me l'ont dit. Le poète Bouchor, répondit M. Bergeret, nous enseigne qu'il vaut mieux endurer les maux de la guerre que d'accomplir une action injuste. Mais vous n'êtes point dans cette alternative, messieurs, et l'on vous effraye avec des mensonges.
Et quand M. Bergeret eut achevé sa lecture: Ne lis donc pas cela, dit vivement Jumage. Cela n'en vaut pas la peine. C'est si peu de chose. C'est peu, j'en conviens, répondit M. Bergeret. Encore faut-il me laisser ce peu comme un témoignage obscur et faible, mais honorable et véritable, de ce que j'ai fait dans des temps difficiles. Je n'ai pas beaucoup fait. Mais enfin j'ai couru quelques risques.
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