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Mis à jour: 26 juillet 2025
La Porte-Saint-Martin a repris, avec un succès véritablement triomphal, Cyrano de Bergerac, le chef-d'oeuvre d'Edmond Rostand, dont la première représentation eut, il y a quinze ans, un retentissement universel. On attendait cette reprise avec la double curiosité de voir comment cette comédie héroïque réapparaîtrait devant le public quinze ans après sa «création» et de juger comment le nouvel interprète de son rôle principal, M. Le Bargy, succéderait
[Note 66: C'étoit le singe de Brioché, le montreur de marionnettes de la porte de Nesle. La Fontaine l'a nommé et a vanté ses tours dans sa fable de la Cour du Lion (liv. 7, fab. 7), et Molière lui a fait le même honneur dans Tartuffe (acte 2, sc. 4). Un jour, ayant eu l'imprudence de faire une trop laide grimace au nez de Cyrano, le grand bretteur, qui le prit pour un laquais minuscule, l'abattit d'un coup d'épée; c'est ce que nous apprend une facétie publiée vers 1655, sous ce titre: Combat de Cirano de Bergerac contre le singe de Brioché. A la page 10 de cette brochure, réimprimée en 1704, en 1707, puis encore de notre temps, mais toujours rare, et curieusement analysée par M. Ch. Magnin dans son Histoire des marionnettes, p. 136-137, se trouve la description complète du fameux singe, avec son costume: «Il étoit grand comme un petit homme et bouffon en diable; son maître l'avoit coiffé d'un vieux vigogne dont un plumet cachoit les fissures et la colle; il luy avoit ceint le cou d'une fraise
Dans les œuvres de Cyrano de Bergerac, se trouve un morceau qui pourrait bien être une réminiscence de ce passage: c'est un réquisitoire des oiseaux contre deux hommes qui se sont glissés parmi eux .
Il me semblait voir le vieux Saturne dans Pierre Duplain, qui, en me couchant sur son registre, me débitait, avec la gravité d'un oracle, ces vers de Cyrano de Bergerac: «Ces noms pour le tyran sont écrits sur le cuivre; Il ne déchire point les pages de mon livre.»
[Note 241: Molière n'est pas le seul ni le premier qui se soit moqué des médecins d'alors. Indépendamment de Boileau, et de La Fontaine, Scarron, dans ce passage et dans plusieurs autres (V. l. 1, ch. 14, p. 128; l. 2, ch. 9); Barclay, dans Euphormion; Cyrano de Bergerac dans sa Lettre contre les médecins, etc., l'ont fait presque dans les mêmes termes que Molière. On peut voir ce qu'en dit La Bruyère (De quelques usages). Cf. aussi l'Ombre de Molière, comédie de Brécourt, 1674, etc., etc. Les médecins se discréditoient eux-mêmes par leurs querelles et leurs discussions, et, en se traitant entre eux de charlatans et d'imposteurs, ils apprenoient aux autres
Les Gascons achèvent de ficeler sur sa monture le corps du petit cadet de Bergerac, dont les genoux maigres bossuent la peau de culotte. Et les autres rient, s'essuient, retirent leur casque, les pieds hors des étriers. Marius déclame. Les Tourangeaux murmurent. Arrive le colonel, sur un cheval gris.
Cyrano de Bergerac, que son père avoit envoyé
Ce plan est assurément fort ingénieux, mais Cyrano de Bergerac en avait exposé un plus ingénieux encore dans son Histoire comique de la lune. Il raconte que les indigènes de cet astre habitent des villes mobiles ou des villes sédentaires. Dans les premières, les maisons, construites d'un bois fort léger, reposent sur quatre roues, et peuvent se déplacer sans peine
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