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Mis à jour: 9 octobre 2025
«Mademoiselle...,» et comme Henriette la regardait de ses beaux yeux si tendres, «je voudrais vous demander une chose...» «Laquelle?» dit la jeune fille. «Lorsqu'on se retrouve au ciel, après la mort, et qu'on ne s'est jamais vus vivants, comment se reconnaît-on?»
Ces fleurs communes étaient pour lui aussi des amies d'enfance, et elles lui rappelaient les beaux jours de son premier amour, lorsque son âme n'avait pas encore perdu sa candeur printanière dans la bataille de la vie et la poursuite de la fortune.
La pauvreté me pèse comme laide: j'aime les beaux habits, les mains blanches... Il regardait celles de la duchesse de telle sorte que la peur la saisit. Adieu, monsieur, lui dit-elle, puis-je vous être bonne
Ta tête, ton geste, ton air Sont beaux comme un beau paysage; Le rire joue en ton visage Comme un vent frais dans un ciel clair. Le passant chagrin que tu frôles Est ébloui par la santé Qui jaillit comme une clarté De tes bras et de tes épaules. Les retentissantes couleurs Dont tu parsèmes tes toilettes Jettent dans l'esprit des poètes L'image d'un ballet de fleurs.
Le nain savait bien qu'on était encore loin de la réalisation des beaux rêves qu'il faisait tout haut. Mais il s'amusait tant
Dans nos palais, où, près de la Victoire, Brillaient les arts, doux fruits des beaux climats, J'ai vu du Nord les peuplades sans gloire De leurs manteaux secouer les frimas. Sur nos débris Albion nous défie; Mais les destins et les flots sont changeants: Le verre en main, gaîment je me confie Au Dieu des bonnes gens.
On était au dessert, on passait les plus beaux fruits: des pêches qui riaient
»Les animaux étaient fort beaux; c'étaient des lions roux comme le soleil, des tigres rayés comme le soir, et des ours noirs comme la nuit.
Comment ne se seraient-ils pas aimés? Beaux et célèbres tous les deux, chantant dans les mêmes pièces, vivant chaque soir pendant cinq actes de la même vie artificielle et passionnée. On ne joue pas impunément avec le feu. On ne se dit pas vingt fois par mois: «Je t'aime!» sur des soupirs de flûte et des trémolos de violon sans finir par se prendre
Lorsqu'on passe en revue l'œuvre magistral de Johannès Brahms, les symphonies puissantes, les lieder si profondément sentis avec les ingénieux accompagnements du clavier, les beaux sextuors, quintettes, quatuors, trios, marqués d'une griffe si personnelle, la cantate de Rinaldo, merveilleuse traduction de la poésie de Goethe, les chœurs religieux ou profanes, revêtus d'un coloris étrange, sévère, le Requiem allemand, enfin, qui mit le sceau
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