Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 24 juin 2025
Les poésies de Baudelaire disséminées un peu partout dans les petits journaux d'avant-garde comme le Corsaire et jusque dans la grave Revue des Deux-Mondes, n'avaient point encore, en 1857, été réunies en volume.
Georges Rodenbach connut tôt la gloire parisienne: elle ne lui survécut guère... Pour réelle qu'ait été sur lui l'influence de Baudelaire et de François Coppée, gardons-nous de l'exagérer: son émotion porte une marque originale et nous rencontrerons dans cette étude peu de natures aussi affinées que la sienne. Rodenbach représente intensément la religiosité de l'âme flamande,
Pour tout dire, je ne pense pas que Baudelaire ait jamais eu la notion tout
Un sonnet de leur grand patron Baudelaire me revint
Nadar, que je trouve, ce matin, dans le cabinet de Daudet, parle de souvenirs, qu'il veut publier sous le titre de: CAHIERS DE NADAR. Mais il n'a pris aucune note, et ses souvenirs, seront plutôt des commentaires autour des lettres autographes qu'il possède: lettres très nombreuses, très curieuses, de Veuillot, de Proudhon, de Baudelaire, etc.
M. Georges adorait les vers... Des heures entières, sur la terrasse, au chant de la mer, ou bien, le soir, dans sa chambre, il me demandait de lui lire des poèmes de Victor Hugo, de Baudelaire, de Verlaine, de Maeterlinck.
Il faut citer, avec ces deux ouvrages, Iskender, qui est l'histoire légendaire d'Alexandre d'après les traditions de la Perse. Ces trois livres sont les trois plus beaux joyaux de cette reine de l'imagination. On aurait voulu peut-être que la pensée magnifique de madame Judith Gautier, comme la Malabaraise de Baudelaire, ne vînt jamais dans nos climats humides et gris, qui ne sont point faits pour sa beauté rare. L'observation a été faite cent fois: cette danseuse, qui tout
Au temps de Baudelaire, c'est-
Baudelaire répondit qu'il en lisait volontiers. Bien lui en prit, car Gautier qui avait dévoré les vocabulaires sans nombre des arts et des métiers, estimait indigne de vivre tout poète ou prosateur qui ne prend pas plaisir
On a beaucoup parlé de la vie douloureuse de Baudelaire: manque d'argent, santé précaire, absence de tendresse féminine, car sa maîtresse Jeanne Duval, une jolie fille de couleur qu'il appelait son « vase de tristesse », n'était qu'une sotte dont le coeur et la pensée étaient loin de lui. Son seul esprit, son méchant esprit était de tourner en ridicule les manies de son ami. Cependant elle était charmante, nous dit Théodore de Banville, « elle portait bien sa brune tête ingénue et superbe, couronnée d'une chevelure violemment crespelée et dont la démarche de reine pleine d'une grâce farouche, avait
Mot du Jour
D'autres à la Recherche