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En reportant ses regards, du fleuve sur la rive, Laurent aperçut une équipe de travailleurs réunissant leurs forces, pour mouvoir quelque arbre géant, de la famille des cèdres et des baobabs, expédié de l'Amérique. Leur façon de faire la chaîne, de se grouper, de se buter

Il n'en faudrait pas une douzaine pour faire une forêt. Ce sont des baobabs, répondit le docteur Fergusson; tenez, en voici un dont le tronc peut avoir cent pieds de circonférence.

Sans parler des gigantesques tamarins réunis en grand nombre, les mimosas d'une hauteur extraordinaire et les baobabs dressaient leurs cimes

En vain, pour agrandir ses horizons, pour oublier un peu le cercle et la place du Marché, en vain s'entourait-il de baobabs et autres végétations africaines; en vain entassait-il armes sur armes, krish malais sur krish malais; en vain se bourrait-il de lectures romanesques, cherchant, comme l'immortel don Quichotte,

Vers sept heures, le Victoria planait sur le bassin de Kanyemé; le docteur reconnut aussitôt ce vaste défrichement de dix milles d'étendue, avec ses villages perdus au milieu des baobabs et des calebassiers. L

«M. Golberry mesura un des baobabs dont parle Adanson, trente-six ans après ce célèbre naturaliste, et ne le trouva accru que d'un pied et quelques pouces de circonférence, c'est-

Les présents des faro. Les guinné sont cependant plutôt d'humeur solitaire et habitent de préférence certains arbres, les plus majestueux de la brousse. Ceci semble confirmer mon hypothèse que ce sont d'anciens dieux inférieurs comme le furent par exemple les dryades et les sylvains. Leurs demeures végétales de prédilection sont les baobabs, les fromagers, les cailcédrat, les tâli et les siengueu. Ceux qui sont moins farouchement individualistes habitent,

«Le 5 octobre, nous partions de Kifoukourou et nous arrivions au centre du Kanyényé, défrichement qui peut avoir dix milles de diamètre; c'est une aire d'argile rouge, émaillée de petits villages, d'énormes baobabs, de mimosas rabougris, les troupeaux abondent, le sol est aussi cultivé que le permet son caractère nitreux, et l'eau potable est rare, la majeure partie de celle qu'on y trouve étant imprégnée de soufre. Nous y passâmes quatre jours, dont la caravane profita pour faire provision de sel, et le capitaine Speke pour tuer quelques antilopes, des pintades et des perdrix. De nombreux éléphants habitent la vallée qui sépare l'Ougogo des montagnes des Ouahoumba; mais c'est en général un triste pays de chasse. Dans tous les endroits cultivés la grosse bête a fui devant les flèches et la cognée des habitants; elle abonde, il est vrai, dans les plaines boisées du Douthoumi, dans les jungles et les forêts de l'Ougogi, les steppes de l'Ousoukouma, les halliers de l'Oujiji; mais sans parler des miasmes putrides qui s'y exhalent, le manque de nourriture, la difficulté d'y avoir de l'eau ne permettent pas de séjourner dans ces régions mortelles. Pas de chariots qui servent

Deux piliers, qu'il n'était pas difficile et encore moins possible de prendre pour des baobabs, s'apercevaient dans la vallée, plus grands que deux épingles. En effet, c'étaient deux tours énormes. Et, quoique deux baobabs, au premier coup d'oeil, ne ressemblent pas

Le pays devint plus marécageux vers le soir; les forêts firent place des bouquets d'arbres isolés; sur les bords du fleuve, on distinguait quelques plantations de tabac et des marais gras de fourrages. Dans une grande île apparut alors la ville de Jenné, avec les deux tours de sa mosquée de terre, et l'odeur infecte qui s'échappait de millions de nids d'hirondelles accumulés sur ses murs. Quelques cimes de baobabs, de mimoras et de dattiers perçaient entre les maisons; même