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Mis à jour: 19 juin 2025
«Non, merci...J'ai mes crampons...» fit Tartarin au guide lui offrant des chaussons de laine pour passer sur ses bottes... «Crampons Kennedy... perfectionnés... très commodes...» Il criait comme pour un sourd, afin de se mieux faire comprendre de Christian Inebnit, qui ne savait pas plus de français que son camarade Kaufmann; et en même temps, assis sur la moraine, il fixait par leurs courroies des espèces de socques ferrés de trois énormes et fortes pointes. Cent fois il les avait expérimentés, ces crampons Kennedy, manoeuvrés dans le jardin du baobab; néanmoins, l'effet fut inattendu. Sous le poids du héros, les pointes s'enfoncèrent dans la glace avec tant de force que toutes les tentatives pour les retirer furent vaines. Voil
Ainsi lui, ses flèches, son baobab, ses poissons rouges, il laissait tout ça, se contentant d'une carabine américaine
Le baobab au-dessus duquel se maintenait le Victoria presque immobile s'élevait au centre d'une clairière; entre des champs de sésame et de cannes
Et du pied le docteur poussa dans le foyer une nouvelle quantité d'herbe. Le ballon, entièrement dilaté par l'accroissement de température, s'envola en frôlant les branches du baobab. « En route! » cria Joe. Une décharge de mousquets lui répondit; une balle même lui laboura l'épaule; mais Kennedy, se penchant et déchargeant sa carabine d'une main, jeta un ennemi de plus
Ils se trouvaient tous les deux isolés au sommet d’une maîtresse branche, poussée droit au milieu de cette forêt qu’on appelle un baobab; l'obscurité accrue par l'épaisseur du feuillage était profonde; cependant Joe, se penchant
Cependant, parmi les arbres de ce fourré, un baobab énorme pouvait offrir un refuge si l'on parvenait
«Les racines du baobab s'étendent extraordinairement loin; elles se prolongent horizontalement et presqu'
Sur le minuit, la psalmodie monotone du mahout s'éleva, d'abord lointaine, puis, s'approchant scandée par les pas massifs de la monture. Bientôt l'homme et la majestueuse bête apparurent, se dirigeant vers le fleuve. Mayëris, qui, jusqu'alors, s'était tenu adossé sous l'ombre d'un baobab, s'avança de quelques pas dans la clairière.
Une minute, quand, la porte du petit jardin brusquement ouverte et refermée, Tartarin se retrouva chez lui, qu'il vit les étroites allées bordées de buis ratissées et proprettes, le bassin, le jet d'eau, les poissons rouges s'agitant au craquement du sable sous ses pas, et le baobab géant dans son pot
Dès l'aube, tout Tarascon était sur pied, encombrant le chemin d'Avignon et les abords de la petite maison du baobab.
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