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Mis à jour: 19 juin 2025
«La couleur de l'écorce du baobab, dit M. Golberry, autre voyageur français, est d'un brun clair, piquetée de petits points gris; mais La couleur du tronc de l'arbre est plus foncée que celle des maîtresses branches. Les feuilles sont longues de six
Calme et fier, quoiqu'un peu pâle, il s'avança sur la chaussée, regarda ses brouettes, et, voyant que tout était bien, prit gaillardement le chemin de la gare, sans même se retourner une fois vers la maison du baobab.
Toute cette foule se pressait, se bousculait devant la porte de Tartarin, ce bon M. Tartarin, qui s'en allait tuer des lions chez les Teurs. Au milieu de cette cohue, les chasseurs de casquettes allaient et venaient, fiers du triomphe de leur chef, et traçant sur leur passage comme des sillons glorieux. Devant la maison du baobab, deux grandes brouettes.
Peut-être, car le baobab était de taille et de grosseur
Le Victoria toucha plusieurs fois le sol et se releva; ses bonds diminuaient de hauteur et d'étendue; au dernier, il s'accrocha par la partie supérieure du filet aux branches élevées d'un baobab, seul arbre isolé au milieu de ce pays désert. « C'est fini, fit le chasseur. Et
Sous un choc d'une effroyable violence, le baobab trembla jusque dans ses racines
palmiers, un baobab, des nopals, des cactus, des figuiers de Barbarie,
Le géant des arbres d'ici est le baobab: il y en a un près du débarcadère dont le pied a au moins deux mètres et demi de diamètre: il produit un fruit de la grosseur et de la couleur d'un gros rat. J'en ai vus qu'on aurait dit couverts de rats d'eau suspendus par la queue. Les indigènes mangent ce fruit aigrelet. Le singe en est gourmand, ce qui lui a fait donner le nom de pain des singes.
Un jour Tartarin se reposait tranquillement chez lui, dans sa petite maison, ses babouches aux pieds, douillettement enveloppé de sa robe de chambre, pas inoccupé cependant, car près de lui, sur sa table, s'éparpillaient des livres et des papiers: les relations de voyages de Bougainville, de Dumont-Durville, des ouvrages sur la colonisation, des manuels de cultures diverses. Au milieu de ses flèches empoisonnées, avec l'ombre du baobab qui tremblotait minusculement sur les stores, il étudiait «sa colonie» et se bourrait la mémoire de renseignements puisés dans les livres. Entre temps il signait quelque brevet, nommait un grand de première classe ou créait sur papier
À ce dernier prestige, Laurent se détourna, ébloui, perdant pied, attiré vers l'abîme. Il regarda de nouveau l'équipe du baobab; puis avisa, plus rapproché de lui, un lourd camion attelé d'un cheval énorme, et le voiturier, attendant,
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