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Mis à jour: 26 juin 2025
Sus doncques, rotisseurs, depensiers, cuisiniers, Marmitons, patissiers, fricasseurs, taverniers, Mettez dessus dessouz pots & plats & cuisine, Qu'on baille
Ne pensez-vous pas, cher Baille, que, malgré l'humeur de sanglier que l'on attribue
Notre-Dame de Bon-Secours, disait-elle, ayez pitié de ma mignonnette Adresse! Je brûlerai en votre honneur quatre gros cierges de cire parfumée, et donnerai une belle nappe de toile de Flandres pour votre autel, si me la conservez en vie et santé; sans quoi, ferai occire le scélérat d'arquebusier qui lui aura baillé la mort!
On ne voit pas assez son danger permanent, dans cette ombre mortelle, sous ce froid géant famélique, dont la gueule dentue bâille toujours vers le riche Occident. Bête épouvantable de proie, entourée par surcroît des vermines affamées, la racaille Cosaquo-Tartare, déménageurs terribles (en Hongrie, ils prenaient jusqu'aux glaces cassées, 1849; en Pologne, ils prenaient jusqu'aux jouets d'enfants, jusqu'aux poupées brisées). Quand Frédéric arrache
Pendant huit jours, la pluie vous tient au logis. Au loin, au milieu du lac des prairies inondées, toujours le même rideau de peupliers qui se fondent en eau, ruisselants, amaigris, vagues dans la buée qui les noie. Puis, une mer grise, une poussière de pluie roulant et barrant l'horizon. On bâille, on cherche
Tost est passé, ung plaisir soulageux; Tost est villain de mesdire apresté; Tost est baillé, ung mal contagieux; Tost se tarist, jeunesse et beaulté; Tost est pensif, qui a necessité; Tost est paillart, qui le veult contrefaire; Tost vient l'yver, tost se passe l'esté; Tost est deffait qui veult autruy deffaire.
En quittant Aix, il avait été convenu, avec Baille et Cézanne, qu'on se reverrait
Fortune, qui les lotz depart, M'a baillé ce dueil pour ma part, Qu'est pis qu'on ne seroit redire; Et si ne lui puis contredire, Dont a peu que mon cueur n'en part. Si dolant, etc.
«Après avoir bâillé autant de fois qu'il y a de minutes entre huit heures et minuit, je rentre me coucher et je me déshabille en songeant, qu'il faudra recommencer demain.
Certes, le drame est très purement écrit. Mais cela ne me désarme pas. Cette langue correcte est aussi factice que les personnages. On n'y sent pas un instant la vibration d'un sentiment vrai. Il y a deux ou trois cris qui sont beaux; le reste n'est que de la rhétorique, et de la rhétorique dangereuse et ennuyeuse. Le public a formidablement baillé.
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