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Mis à jour: 22 juin 2025
Voici un bon de vingt mille roupies sur mon trésorier. Ah! seigneur maharajah, s'écria Baber avec un enthousiasme qui n'était pas feint, vous serez toujours le plus généreux des hommes, et il y a plaisir
«Je vais vous le dire, répliqua Baber. Akbar désertait. Il allait au camp des Anglais. C'est faux, s'écria Akbar en balbutiant. Traître! dit Corcoran. Et toi?» Le compagnon d'Akbar n'était pas moins effrayé que son chef. «Seigneur, je ne suis qu'un simple officier. J'obéissais
«Lâche coquin! cria-t-il, tu n'oses pas m'attendre!» Mais cette insulte ne parut pas émouvoir beaucoup Baber. «Qui t'empêche de courir?» répliqua-t-il. Au même instant, Doubleface s'élança le sabre nu, l'accula, par deux ou trois feintes bien ménagées, dans un coin de l'enceinte et lui assena un tel coup de sabre, que tous les spectateurs crurent que la dernière heure de l'Indou avait sonné.
«Baber et moi, tantôt séparément, tantôt ensemble, nous avons examiné avec soin la disposition du palais et de ses issues, et fait notre plan de campagne. Il me paraît impossible que le soi-disant maharajah puisse s'échapper, quelle que soit sa force physique, qui est vraiment prodigieuse, et quel que soit son sang-froid.
Mauvais, très-mauvais. Chien galeux, Baber! Baber poignarder Acajou, quand Acajou aura dos tourné. Obéis, dit le maharajah. Cela t'apprendra
«Ce qu'Acajou vient de dire est-il vrai?» demanda-t-il. Baber, qui n'avait pas compris un mot du récit d'Acajou, raconta de la même façon que le nègre ce qui était arrivé. «C'est bien, dit le maharajah. Si je te dépose
«A moi, seigneur maharajah!» cria Baber. En même temps, il s'élança
Un soir, comme Corcoran rentrait au camp après une escarmouche assez vive, Baber se présenta et annonça que Sita, Rama, Scindiah, Louison et Garamagrif venaient de tomber au pouvoir de l'armée anglaise. A cette terrible nouvelle, Corcoran fut saisi d'un désespoir si profond, qu'on craignit un instant qu'il ne voulût se brûler la cervelle. Quoi!
Baber, dit Corcoran, attache-leur les pieds et les mains, jette-les dans l'intérieur de la voiture, et tourne la bride des chevaux vers le camp. C'est le conseil de guerre qui décidera de leur sort.» Baber obéit, sans qu'aucun des deux misérables osât lui résister. La vue de Corcoran et de Louison leur glaçait le sang dans les veines.
Tu le détestes donc bien? demanda Corcoran. Ordonnez qu'on me délie les mains, s'écria Baber, et qu'on me permette de l'étrangler moi-même. C'est une idée, cela, dit Quaterquem. Et même une assez bonne, continua le maharajah en riant, et qui m'en suggéra une autre. Monsieur Doubleface, connaissez-vous le maniement du sabre? Oui, dit amèrement l'Anglais, et si j'étais libre et armé....
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