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Mis à jour: 6 juin 2025
Ces malheureuses troupes autrichiennes qu'on avait amenées de Vienne au bruit des chansons et des fifres, en leur faisant croire qu'il n'y avait plus d'armée française en Allemagne, et qu'elles n'auraient affaire qu'aux Bavarois et aux Wurtembergeois, montrèrent tout le ressentiment qu'elles concevaient contre leurs chefs, des erreurs où ils les avaient entretenues, et leur terreur ne fut que plus grande
L'armée française, traversant le grand bras du Danube sur les trois ponts d'Ebersdorf, se massa dans l'île de Lobau, où l'Empereur réunit 150,000 hommes. Le prince Charles, de son côté, rassembla des forces égales sur la rive gauche, où les troupes autrichiennes, placées sur deux lignes, formaient un arc immense, afin d'envelopper les parties de l'île de Lobau qui leur faisaient face. À la droite des ennemis, la pointe de cet arc s'appuyait au Danube
Sur ce dernier point, les renseignements qu'il recueillait, exagérés ou faux pour la plupart, le faisaient se leurrer de beaucoup d'illusions. Tout cependant n'était pas mensonge dans ces rapports, et notamment en ce qui touchait Pichegru. Ce général, au mois de septembre 1795, alors qu'il commandait l'armée de Rhin et Moselle, était entré en relations avec le prince de Condé, qui campait non loin de lui parmi les troupes autrichiennes, qui menaçaient l'Alsace. Un aventurier politique, Roques de Montgaillard, dont le nom allait obtenir bientôt un certain retentissement, était le metteur en oeuvre de cette intrigue,
Quand le ciel est inclément, la Providence met des coeurs secourables sur notre route: ce n'est donc pas en ce moment que nous sommes tentés de l'accuser. Vous avez de l'esprit, mon petit ami, répondit Mayer; vous êtes de ce beau pays où tout le monde en a. Mais, croyez-moi, ni votre esprit ni votre belle voix ne vous empêcheront de mourir de faim dans ces tristes provinces autrichiennes.
Pour remettre ces objets aux marchands, le montagnard est obligé de traverser les enceintes autrichiennes, où des garde-frontières le forcent
Sans la faute du général d'Auersperg, le passage du Danube eût certainement été exécuté avec beaucoup de difficultés. Il pouvait même se faire qu'il devînt impraticable, et dans ce cas l'empereur Napoléon, ne pouvant plus poursuivre les armées russes et autrichiennes en Moravie, eût manqué sa campagne. Il en eut alors la conviction, qui fut confirmée trois ans après, lorsqu'en 1809, les Autrichiens ayant brûlé les ponts du Danube, nous fûmes contraints, pour assurer le passage de ce fleuve, de livrer les deux batailles d'Essling et de Wagram qui nous coûtèrent plus de trente mille hommes, tandis qu'en 1805 les maréchaux Lannes et Murat enlevèrent les ponts sans avoir un seul blessé!... Mais le stratagème dont ils s'étaient servi était-il admissible? Je ne le pense pas. Je sais que dans les guerres d'
Pendant que nous faisions cette promenade militaire, le général Bonaparte poursuivait le cours de ses victoires en Italie. Les armées autrichiennes qui combattaient sur le Rhin étaient incessamment obligées d'envoyer au secours de celles qui périssaient sur l'Adige. Elles s'étaient affaiblies par les détachemens qu'elles avaient fait partir. La circonstance était favorable pour reprendre l'offensive. Le Directoire résolut de mettre en mouvement les armées de Sambre-et-Meuse et du Rhin; mais, soit qu'il fût mécontent de la mésintelligence qui régnait entre elles, soit toute autre cause, il donna le commandement de la première au général Hoche, et leur ordonna
Les deux armées russes lancées vers la Galicie l'ont envahie, l'une par la ligne de Lublin, l'autre par Tarnopol, marchant sur Lemberg, capitale de cette province. En une bataille de sept jours, les Russes ont mis en déroute complète les forces autrichiennes. C'est une grosse victoire.
«Je vous serais obligé de m'envoyer l'état exact des possessions autrichiennes sur la rive droite de l'Isonzo.» LE G
Le soir, lorsqu'en fermant le port, les trompettes autrichiennes sonnaient des notes si étranges et si belles, je les notais. Je m'en servis vingt-cinq ans plus tard, au quatrième acte du Cid. Le 17 décembre, mes camarades me firent leurs adieux, non seulement pendant le dernier triste dîner
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