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Mis à jour: 12 juin 2025


UN AUTRE LORD. Je te défie de même sur le terrain, parjure Aumerle, et je te provoque par autant de démentis que j'en pourrais crier

Quelles sont les violettes parsemées maintenant sur le sein verdoyant du nouveau printemps? AUMERLE. Madame, je l'ignore et ne m'en embarrasse guère. Dieu sait qu'il m'est indifférent d'en être ou de n'en pas être. YORK. A la bonne heure; mais comportez-vous bien dans cette saison nouvelle, de peur d'être moissonné avant le temps de la maturité. Que dit-on d'Oxford?

Allons, Bagot, parle librement et dis ce que tu sais de la mort du noble Glocester. Qui l'a tramée avec le roi, et qui a exécuté le sanglant office de sa mort prématurée? BAGOT. Alors faites paraître devant moi le lord Aumerle. BOLINGBROKE. Cousin, avancez, et regardez cet homme.

BAGOT. Lord Aumerle, je sais que votre langue hardie dédaigne de désavouer ce qu'elle a une fois prononcé. Dans ces temps d'oppression l'on complota la mort de Glocester, je vous ai entendu dire: «Mon bras n'est-il pas assez long pour atteindre, du sein de la tranquille cour d'Angleterre jusqu'

AUMERLE. Je conjure Votre Grâce de m'excuser: c'est un écrit de peu d'importance, que j'ai quelque raison de tenir caché. YORK. Et moi, monsieur, que j'ai quelque raison de vouloir connaître. Je crains.... je crains.... LA DUCHESSE D'YORK. Eh! que pouvez-vous craindre? Ce ne peut être que quelque engagement qu'il aura contracté pour ses parures le jour du triomphe.

AUMERLE. Il m'a dit: portez-vous bien ; et, comme mon coeur dédaignait de voir ma langue profaner ce souhait, je me suis avisé de contrefaire l'accablement d'un chagrin si profond, que mes paroles semblaient ensevelies dans le tombeau de ma douleur.

Je conjure Votre Majesté de m'accorder un moment d'entretien, seul avec Votre Grâce. BOLINGBROKE, aux lords. Retirez-vous, et laissez-nous seuls ici. AUMERLE, s'agenouillant. Que mes genoux restent pour toujours attachés

RICHARD. Adieu, cousin; et vous, oncle, dites-lui aussi adieu: nous le bannissons pour six ans; il faut qu'il parte. AUMERLE. Cousin, adieu. Ce que nous ne pouvons savoir par votre présence, que des lieux que vous habiterez vos lettres nous l'apprennent. LE MAR

BOLINGBROKE. Oh! que de nobles yeux ne profanent point une larme pour moi, si mon sang est versé par la lance de Mowbray. Avec la confiance d'un faucon qui fond sur un oiseau, je vais combattre Mowbray. (Au lord maréchal.) Mon cher seigneur, je prends congé de vous; et de vous, lord Aumerle, mon noble cousin; bien que j'aie affaire avec la mort, je ne suis pas malade, mais vigoureux, jeune, respirant gaiement; maintenant, comme aux festins de l'Angleterre, je reviens au mets le plus délicat pour le dernier, afin de rendre la fin meilleure. (A Gaunt.) O toi, auteur terrestre de mon sang, dont la jeune ardeur renaissant en moi me soulève avec une double vigueur pour atteindre jusqu'

AUMERLE. Non, mon bon maître; combattons avec de bonnes paroles jusqu'

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