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Mis à jour: 25 juin 2025


Quelques jours avant son départ, l'Empereur, qui avait l'intention d'emmener Augereau avec lui, si sa blessure reçue

Le rétablissement du gouvernement impérial, qui paraissait devoir éprouver quelques obstacles, s'opérait de tous côtés avec une promptitude et une facilité véritablement inouïs. Le maréchal Augereau, qui avait cherché, dans sa proclamation de 1814,

Deuxième combat d'Anghiari. Le général Provera ne perdit pas un instant et fila sur-le-champ sur Castellara. Le général Augereau tomba sur l'arrière-garde de sa division, et après un combat assez vif, enleva toute l'arrière-garde de l'ennemi, lui prit seize pièces de canon, et lui fit deux mille prisonniers. L'adjudant-général Duphot s'y est particulièrement distingué par son courage.

Un long repos ayant été jugé nécessaire pour la guérison de la blessure du maréchal Augereau, l'Empereur lui écrivit pour l'engager

Le 26, le général Augereau attaqua l'ennemi

C'étaient les vieux soldats de Montebello et de Rivoli: ils avaient forcé, avec Augereau, le pont d'Arcole; avec Bonaparte, le pont de Rivoli. Ils abaissèrent la baïonnette, s'élancèrent au pas de course, et,

Les Saxons combattaient avec courage: ils résistèrent longtemps au corps du maréchal Augereau, et ce ne fut qu'après la retraite des troupes prussiennes que, s'étant formés en deux grands carrés, ils commencèrent leur retraite, tout en continuant

Pendant que ces événements se passaient sur la gauche, la droite avait eu également des succès; j'avais eu l'ordre de m'y rendre et de rester pendant toute la bataille auprès du général Augereau; celui-ci, n'étant pas content de la manière dont son artillerie était servie, me demanda d'en prendre le commandement, ce que je fis; elle contribua au succès de cette belle journée; j'y reçus une contusion de boulet, mais je ne fus pas obligé de quitter le champ de bataille.

Le premier consul, BONAPARTE. Au général Augereau, commandant en chef l'armée française en Batavie. Je vous ai nommé, citoyen général, au poste important de commandant en chef l'armée française en Batavie.

La capitulation portait donc que les troupes autrichiennes déposeraient les armes, livreraient leurs drapeaux, étendards, canons et chevaux, mais ne seraient pas conduites en France et pourraient se retirer en Bohême, après avoir juré de ne pas servir contre la France pendant un an. En annonçant cette capitulation dans un de ses bulletins de la grande armée, l'Empereur témoigna d'abord un peu de mécontentement de ce qu'on n'avait pas exigé que les troupes autrichiennes fussent envoyées prisonnières en France; mais il revint sur cette pensée, lorsqu'il eut acquis la certitude que le maréchal Augereau n'avait aucun moyen de les y contraindre, parce qu'elles avaient la facilité de s'échapper. En effet, dans la nuit qui précéda le jour les ennemis devaient déposer les armes, une révolte éclata dans plusieurs brigades autrichiennes contre le feld-maréchal Jellachich. Le prince de Rohan, refusant d'adhérer

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