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Mis à jour: 1 juin 2025
La bataille d'Arcis-sur-Aube fut terrible: elle ne finit point avec le jour. L'empereur occupait toujours la ville, malgré les efforts réunis d'une armée de cent trente mille hommes de troupes fraîches qui en attaquaient trente mille harassés de fatigue. On se battit encore pendant la nuit, où l'incendie des faubourgs éclairait notre défense et les travaux des assiégeans. Tenir plus long-temps devint impossible, et cependant un seul pont restait
Jamais ville assiégée n'offrit un semblable spectacle. Les assiégeans, l'arme renversée, et marchant dans le désordre de la joie, approchaient, en chantant, des murailles de la place. Le bruit des armes, les cris de guerre des soldats ne venaient point épouvanter les airs: on n'entendait d'autre bruit que les acclamations sans cesse renaissantes de vive Grenoble! vive la France! vive Napoléon! d'autres cris que ceux de la plus franche gaieté et du plus pur enthousiasme. La garnison, la garde nationale, la population répandues sur les remparts, regardèrent d'abord avec surprise, avec émotion, ces transports d'allégresse et de dévouement. Bientôt ils les partagèrent; et les assiégeans et les assiégés, réunis par les mêmes pensées, les mêmes sentimens, firent éclater
«Femme! s'écria-t-il avec fureur, sûrement tu n'y as pas mis le feu? Mais oui, de par le ciel, le château est en flammes!» «Elles s'élèvent rapidement du moins, dit Ulrique avec le calme le plus affreux; et bientôt un signal avertit les assiégeans de presser vivement ceux qui chercheraient
C'est dans la même nuit que les batteries de la Pointe-Levy ouvrirent leur feu sur la ville: L'on dut voir alors que les assiégeans ne reculeraient devant aucune mesure extrêmes, et que les lois de la guerre seraient suivies avec rigueur, puisque ce bombardement était complètement inutile pour avancer la conquête. Mais ce n'était que le commencement d'un système de dévastation qui, en Europe, eût attiré sur son auteur l'animadversion des peuples, et dont l'exemple donné autrefois en Allemagne par Turenne a été blâmé par tous les historiens anglais. Les premiers projectiles qui tombèrent sur cette cité dont chaque maison pouvait être distinguée de l'ennemi, fit fuir les habitants qui y étaient restés, d'abord derrière les remparts du côté des faubourgs, et ensuite dans les campagnes. On retira les poudres, et une partie de la garnison s'organisa en sapeurs-pompiers pour éteindre les incendies. Dans l'espace d'un mois les plus belles maisons de la ville avec la cathédrale devinrent la proie des flammes. La basse-ville fut entièrement incendiée dans la nuit du 8 au 9 août. La plus grande et la plus riche portion de Québec n'était plus qu'un monceau de ruines, et quantité de citoyens riches auparavant se trouvèrent réduits
Le 25 juillet, les assiégeans préparèrent leurs mines et se disposèrent
Les assiégeans avaient porté leurs lignes
De la Marck, comme s'il eût deviné son intention, se tourna vers lui la massue levée; et ils étaient sur le point de se rencontrer, quand de grands cris, des cris tumultueux de triomphe et de désespoir, annoncèrent que les assiégeans entraient dans la ville, d'un autre côté, en arrière de ceux qui défendaient la brèche. À ces cris de terreur, de la Marck abandonna la brèche, et appelant de la voix et par le son de son cor ceux qui voulaient se rallier
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