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Mis à jour: 20 juin 2025
Moi, j'ai conduit mes soldats au feu; ils ont tous été braves, il n'y a pas de quoi se glorifier; mais, un jour, les journaux vous l'ont dit; je me suis trouvé avec un capitaine et trois soldats, ce qui faisait en tout quatre hommes et un caporal, dans une nuée d'Arabes, qui nous ont assaillis comme des abeilles en fureur. J'ai perdu deux hommes, le troisième est aux Invalides, mon capitaine est défiguré, j'ai été blessé
Combien de nous songent aux oiselets qui raidis par le froid tombent des branches, ou aux troupeaux assaillis par l'ouragan? Qui s'apitoie sur les souffrances des poissons ou des insectes?
Ils s'y montrèrent fort doux et tranquilles, exigeant seulement du vin en abondance. Tous les gens en fonctions de Thouars eurent d'abord beaucoup de frayeur, et craignaient de mauvais traitemens; ils se mirent sous la protection des chefs, et ne les quittaient pas de peur d'être assaillis par les paysans.
De Gourgues divisa ses troupes en deux colonnes pour l'attaque, et marcha, aidé des Sauvages, contre le premier fort. La garnison qui était de soixante hommes, l'ayant abandonné, tomba entre les deux colonnes, et fut presque toute détruite au premier choc. Le second fort fut pris après quelque résistance de la part de ses défenseurs, qui dans leur fuite furent aussi cernés et taillés en pièces. Le troisième fort, la Caroline, était plus grand que les autres, et renfermait deux cents hommes. Le commandant français ayant résolu de l'escalader, avait disposé des troupes autour de la place, lorsque les assiégés firent une sortie avec 80 arquebusiers, ce qui avança leur perte. On les attira par stratagème loin de leurs murailles, et on leur coupa la retraite. Assaillis de tous côtés, ils furent tous tués après avoir offert la plus vigoureuse résistance. Les soldats qui formaient le reste de la garnison, effrayés, voulurent se sauver dans les bois; mais ils tombèrent aussi sous le fer des Français et des Indiens, excepté quelques uns que l'on réserva pour une mort plus ignominieuse. On fit un butin considérable. Les prisonniers furent amenés au lieu où les Français avaient subi leur supplice, et où Menendez avait fait graver sur une pierre ces mots: «Je ne fais ceci comme
Les critiques alors se voient assaillis par des gens pressés qui viennent de fort loin faire leur réputation dans la grand'ville, qui la veulent faire vite et qui tentent sur eux l'emploi des fromages de Hollande comme moyen de corruption. C'est la saison!
Le 22, en quittant notre camp, nous sommes assaillis par des nuées de moustiques qui s'abattent sur nous avec une voracité cruelle. Nous avons beau couper l'air de nos cravaches pour éloigner ces agaçants insectes, notre épiderme devient leur proie et nous en souffrons beaucoup.
A la pensée qu'on ne l'attaquait ainsi que pour lui voler son argent, il mit sa main dans sa poche par un mouvement rapide et glissa son argent dans ses bottes. Creps et Roozeman furent assaillis, au même instant, de la même manière.
D'après cela, vous me direz que combattre les monopoleurs, c'est combattre les socialistes. Non. Les socialistes ont une théorie sur la nature oppressive du capital, par laquelle ils expliquent l'inégalité des conditions, et toutes les souffrances des classes pauvres. Ils parlent aux passions, aux sentiments, et même aux meilleurs instincts des hommes. Ils séduisent la jeunesse, montrant le mal et affirmant qu'ils possèdent le remède. Ce remède consiste en une organisation sociale artificielle de leur invention, qui rendra tous les hommes heureux et égaux, sans qu'ils aient besoin de lumières et de vertus. Encore si tous les socialistes étaient d'accord sur ce plan d'organisation, on pourrait espérer de le ruiner dans les intelligences. Mais vous comprenez que, dans cet ordre d'idées, et du moment qu'il s'agit de pétrir une société, chacun fait la sienne, et tous les matins nous sommes assaillis par des inventions nouvelles. Nous avons donc
Notre comité avait presque l'importance de l'Académie française. Aussi, comme elle, étions-nous assaillis de sollicitations avant l'adjudication des prix, et d'injures après.
Le premier moment fut terrible. Rien de tragique comme le fourmillement d'une foule foudroyée. Ils se jetèrent sur leurs armes. On criait, on courait, beaucoup tombaient. Les assaillis, ne savaient plus ce qu'ils faisaient et s'arquebusaient les uns les autres. Il y avait des gens ahuris qui sortaient des maisons, qui y rentraient, qui sortaient encore, et qui erraient dans la bagarre, éperdus. Des familles s'appelaient. Combat lugubre, mêlé de femmes et d'enfants. Les balles sifflantes rayaient l'obscurité. La fusillade partait de tous les coins noirs. Tout était fumée et tumulte. L'enchevêtrement des fourgons et des charrois s'y ajoutait. Les chevaux ruaient. On marchait sur les blessés. On entendait
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