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Mis à jour: 9 juin 2025
Aristide était resté debout. Il blêmit et ne prit pas le papier, croyant que son frère se moquait de lui. Il avait espéré au moins une place de six mille francs. Eugène, devinant ce qui se passait en lui, tourna sa chaise, et, se croisant les bras: Serais-tu un sot? demanda-t-il avec quelque colère.... Tu fais des rêves de fille, n'est-ce pas?
Péniblement, MM. Aristide Briand et Albert Willm parvinrent
C'est le troisième d'une chanson qui fit le tour de France sur l'air de Vive Paris! M. Jules Jouy a beaucoup d'esprit. Mais j'aperçois en lui un Gustave Leroy. Les vrais modernes sont Aristide Bruant, Victor Meusy, Léon Xanrof. Avec eux la chanson a pris un air qu'elle n'avait pas encore, une crânerie canaille, une fière allure des boulevards extérieurs, qui témoigne du progrès de la civilisation.
En 1886-1887, il collabora au Courrier Français, le journal du désordonné Jules Roques; et il fut en même temps au Mirliton, le journal du non moins étonnant Aristide Bruant, l'engueuleur patenté des Parisiens et de leurs compagnes. Le Mirliton eut 77 numéros, et vécut du mois d'octobre 1885 au mois de décembre 1892.
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