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Mis à jour: 25 juin 2025
Voyez maintenant ce qu'est devenu ce fait divers sous la plume d'Alphonse Daudet. Sans y rien ajouter que l'émotion de son âme et la magie du style, sans prononcer un mot retentissant, un de ces mots un peu gros qui, dans les apostrophes du vaincu au vainqueur, sont comme la menace éternelle des représailles
(Plusieurs ministres se lèvent sur leurs bancs et protestent avec vivacité contre les paroles de l'orateur. Le tumulte va croissant. Des apostrophes violentes sont lancées
Désastres de la bataille d'Essling. Murmures des soldats. Apostrophes aux généraux. Patience courageuse. Intrépidité du maréchal Masséna. Bonheur continuel. Zèle des chirurgiens de l'armée. Mot de l'empereur. M. Larrey. Le bouillon de cheval. Soupe faite dans des cuirasses. Constance des blessés. Suicide d'un canonnier. Le vieux concierge allemand. La princesse de Lichtenstein. Le général Dorsenne. Bonne chère et linge sale. Lettre outrageante
Xanthias triomphe de cette péripétie, et dit en sourdine, entre les diverses apostrophes des cabaretières
«Les soldats étaient assis et gardaient leurs rangs; le seul Thersite, intarissable parleur, prolongeait le tumulte; son esprit était fertile en impudentes apostrophes; sans cesse, avec effronterie, et défiant toute honte, il outrageait les chefs afin d'exciter le rire de la multitude. Le plus vil des combattants accourus sur ces bords, il était louche et boiteux; ses épaules courbées comprimaient sa poitrine; sur son crâne, aminci en cône au sommet, flottaient quelques rares cheveux.» Les discours aux soldats qu'Homère met dans sa bouche sont d'envieuses ironies contre Achille et contre Agamemnon livré en dérision
«La France accablée, mutilée en présence de toute l'Europe, n'a rencontré que la lâcheté de l'Europe. Aucune puissance européenne ne s'est levée pour défendre la France, qui s'était levée tant de fois pour défendre l'Europe. Un homme est intervenu. (Ici les murmures commencent.) Cet homme est une puissance. (A droite, grognements.) Cet homme, qu'avait-il? (Rires des cacochymes.) Une épee. Cette épee avait délivré un peuple. (La voix de l'orateur, si forte, est couverte par les violentes apostrophes de la majorité.) Elle pouvait en sauver un autre. (Dénégations frénétiques, jeunes et vieux se lèvent ivres de colère.) Enfin cet homme a combattu. (Ici l'orage crève. C'est un torrent. La voix du président est étouffée; le bruit de la clochette n'arrive pas jusqu'
Par la porte restée entr'ouverte on entendit le bruit lointain d'un tumulte, une clameur, des apostrophes qui se rapprochaient, s'éloignaient, se rapprochaient encore, exactement comme les cris d'une meute sur la voie d'un cerf. C'était Dawson qui revenait des obsèques d'un saint et, déj
Il faut croire aussi que bon nombre de ces apostrophes véhémentes s'adressaient moins aux femmes honnêtes qu'aux courtisanes qui pullulaient dans les grandes villes d'Orient. En tout cas, ce langage est franchement antiféministe. Il semble que la femme, en elle-même, ait été, pour les premiers chrétiens, un objet, sinon de réprobation, du moins de terreur sacrée. C'est
Le tout agrémenté de ces menues apostrophes sans signification précise dont les Provençaux sèment leurs discours, de ces copeaux qu'ils mettent entre les phrases pour en atténuer, exalter ou soutenir l'accent multiple: «Aie, ouie, avai, açavai, au moins, pas moins, différemment, allons!...»
Se figure-t-on la furie des huées, la mêlée d'imprécations qui accueilleraient de telles paroles! Se figure-t-on les cris, les apostrophes, les menaces, l'assemblée entière se levant en masse, la tribune escaladée et
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