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Mis à jour: 8 juin 2025
Le capitaine Anderson fit stopper immédiatement, et l'un des matelots plongea pour reconnaître l'avarie. Quelques instants après, on constatait l'existence d'un trou large de deux mètres dans la carène du steamer. Une telle voie d'eau ne pouvait être aveuglée, et le Scotia, ses roues
Le capitaine Anderson fit stopper immédiatement, et l'un des matelots plongea pour reconnaître l'avarie. Quelques instants après, on constatait l'existence d'un trou large de deux mètres dans la carène du steamer. Une telle voie d'eau ne pouvait être aveuglée, et le Scotia, ses roues
Il fallut d'abord lever l'ancre. Le flot montait encore, et le Great Eastern, évité sous sa poussée, lui présentait l'avant. Il était donc tout paré pour descendre la rivière. Le capitaine Anderson avait dû choisir ce moment pour appareiller, car la longueur du Great Eastern ne lui permettait pas d'évoluer dans la Mersey.
Oui et non, John. Tout cela forme le menu ordinaire des explorateurs de l'Afrique centrale... C'est ce que le lecteur rencontre dans les récits des Barth, des Burton, des Speke, des Grant, des du Chaillu, des Livingstone, des Stanley, des Serpa Pinto, des Anderson, des Cameron, des Mage, des Brazza, des Gallieni, des Dibowsky, des Lejean, des Massari, des Wissemann, des Buonfanti, des Maistre...»
Le second du navire contrastait singulièrement avec le capitaine Anderson. Il est facile
Par ce beau soleil, l'observation de midi fut très bonne. Elle donna en latitude 48° 47', en longitude 36° 48', et comme parcours deux cent cinquante milles seulement. Le moins rapide des transatlantiques aurait eu le droit de nous offrir une remorque. Cela contrariait fort le capitaine Anderson. L'ingénieur attribuait le manque de pression
À gauche, les rochers Rouges et les monts Maudits. Ce cirque immense est partout d'une blancheur éblouissante. Il présente de tous côtés d'énormes crevasses. C'est dans l'une d'elles que furent engloutis, en 1820, trois des guides qui accompagnaient le docteur Hamel et le colonel Anderson. Depuis cette époque, en 1864, un autre guide, Ambroise Couttet, y a trouvé la mort.
Avant le lunch, le capitaine Anderson voulut distraire ses passagers des ennuis d'une traversée si longue. Il organisa donc des exercices de gymnastique qu'il dirigea en personne. Une cinquantaine de désoeuvrés, armés comme lui d'un bâton, imitèrent tous ses mouvements avec une exactitude simiesque. Ces gymnastes improvisés «travaillaient» méthodiquement, sans desserrer les lèvres, comme des «riflemens»
À ces bibliographies, il faut ajouter celle que M. J.-A. Anderson du British Museum a jointe
En avant de la haie de spectateurs étagés sur le tambour se tenaient en grand costume le capitaine Anderson et ses principaux officiers. Le capitaine avait
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