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Mis à jour: 4 juin 2025


Tout blancs et comme emplis des tristesses passées, Que redisent leurs voix dans un écho pleureur, Sous le recourbement des voûtes surbaissées, Les corridors claustraux allongent leur terreur. Les murs sont recouverts de triptyques funèbres, des crucifiements pendent écartelés, Le jour frappant

Quelles clartés, reflets d'étoiles ou de lampes, Allongent dans les yeux de lumineuses rampes? Est-ce un feu du dehors? Est-ce un feu du dedans? D'un âtre intérieur plein de tisons ardents, Ou d'une rue, au loin, pleine de réverbères Qui se mirent dans les yeux sombres chaque soir Et leur sont comme des parures viagères?

Les jeux des papillons, des oiseaux, des zéphirs, Une branche qu'un flot de soleil ploie et marque, Font bouger l'horizon, que l'on croit voir frémir Comme une frêle tente au-dessus d'une barque. Se joignant dans un net et décisif amour, Le cristal bleu de l'air et la lente colline Allongent leur unique et mutuel contour Dans la molle atmosphère, assoupie et câline.

L'ancien vaudeville était préférable. Il gardait au moins une platitude bonne enfant. D'autre part, si l'on entre dans le relatif du métier, il est certain qu'il était moins rare de rencontrer un vaudeville bien fait qu'il ne l'est aujourd'hui de tomber sur une opérette supportable. La cause en est simple. Les auteurs, quand ils avaient une idée drôle, se contentaient de la traiter en un acte, et le plus souvent l'acte était bon, l'intérêt se soutenait jusqu'au bout. Maintenant, il faut que la même idée fournisse trois actes, quelquefois cinq. Alors, fatalement, les auteurs allongent les scènes, délayent le sujet, introduisent des épisodes étrangers; et l'action se trouve ralentie. C'est ce qui explique pourquoi, généralement, le premier acte des opérettes est amusant, le second plus pâle, le dernier tout

J'ai toujours beaucoup aimé les histoires fantastiques. L'incroyable est une des formes de la poésie. Le réel, lorsqu'il se déforme par l'hallucination ou le rêve, devient tout aussitôt énorme et plus attirant peut-être que la vérité même. Tels ces visages que certains miroirs concaves ou convexes allongent ou dépriment de façons bizarres. Ils nous fascinent.

Comme les jours allongent! on y voit encore

Mot du Jour

n'usait

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