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Mis à jour: 27 juin 2025


Eh! mon Dieu! aimez-moi aussi; je ne vous tourmenterai guère, mais

» Adieu, mon cher oncle; écrivez-moi, ce sera fortifier mon âme; aimez-moi, ce sera faire vivre mon coeur. » Votre MARIE CAPELLE. » Post-scriptum. On prétend que la pensée d'une femme est toute dans le post-scriptum de ses lettres.

Je suis très-incommodée depuis six semaines. J'ai de la diarrhée qui m'a débarrassée de mon rhumatisme et de mes coliques; mais le remède pourroit être plus dangereux que le mal. Je suis maigrie, et très-foible: je vais prendre de l'émétique. Adieu, Madame; aimez-moi toujours un peu. Soyez persuadée que personne ne vous aime plus tendrement, ne vous estime et ne vous honore plus parfaitement. Vous feriez le bonheur de ma vie, si je pouvois vivre avec vous. Notre séparation me paroît tous les jours plus cruelle et m'afflige sensiblement. Quelque malheur qu'il y ait

«Eh bien! dis-je enfin, aimez-moi ou haïssez-moi, en tout cas vous avez mon plein et libre pardon; demandez celui de Dieu et soyez en paixPauvre femme malade! il était trop tard désormais pour changer son âme: vivante, elle m'avait haïe; mourante, elle devait me haïr encore.

Aimez-moi donc comme si de rien n'était, mon ami, et, de ce que je ne fais pas un acte que vous me conseillez de faire, n'y voyez pas une différence de sentiments et de principes: voyez-y seulement une manière différente d'apprécier un fait passager. Ce qui me fait rester calme devant vos tendres reproches, c'est la profonde conviction que, si vous étiez moi, vous feriez ce que je fais.

«Je vous donnerai des nouvelles de Carcassonne. Au nom de Dieu, aimez-moi toujours autant que vous avez fait ici et

Vous ai-je dit de mettre dans votre chambre l'image de la Vierge que je vous ai donnée? N'y manquez pas. Bien souvent, je lui demande de vous avoir en sa garde très douce et très sûre. Priezla aussi pour moi, et je vous en conjure, aimez-moi en Dieu et pour Dieu afin que votre coeur ne se refroidisse jamais. Vôtre pour la vie et par del

Cela me rappellera des jours de joyeuses folies, et d'ardentes fêtes, et de radieuses jouissances, jours que je ne regrette pas d'avoir vécu, que je ne regrette pas de ne plus vivre. Mon entrée arrive. Adieu, aimez-moi. Marseille, décembre 1847.

J'aime de vos longs yeux la lumière verdâtre, Douce beauté, mais tout aujourd'hui m'est amer, Et rien, ni votre amour, ni le boudoir, ni l'âtre, Ne me vaut le soleil rayonnant sur la mer. Et pourtant aimez-moi, tendre coeur! soyez mère Même pour un ingrat, même pour un méchant; Amante ou soeur, soyez la douceur éphémère D'un glorieux automne ou d'un soleil couchant. Courte tâche!

Et ainsi pendant une heure sans débrider. Je vas dormir toute cassée; j'ai pleuré comme une bête, toute la soirée, et je vous embrasse d'autant plus, cher ami. Aimez-moi plus qu'avant, puisque j'ai de la peine. Paris, 16 novembre 1866.

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