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Mis à jour: 27 mai 2025


Et Hektôr au casque mouvant lui répondit: Divin Aias Télamônien, prince des peuples, ne m'éprouve point comme si j'étais un faible enfant ou une femme qui ignore les travaux de la guerre. Je sais combattre et tuer les hommes, et mouvoir mon dur bouclier de la main droite ou de la main gauche, et il m'est permis de combattre audacieusement.

Ayant ainsi parlé, il appela les Aias et Ménélaos: Aias et Ménélaos, chefs des Argiens, remettez ce cadavre aux plus braves, et qu'ils le défendent, et qu'ils repoussent la foule des hommes; mais éloignez notre dernier jour,

Et Aias, le fils agile d'Oileus, se tenait toujours auprès d'Aias Télamônien. Comme deux boeufs noirs traînent ensemble, d'un souffle égal, une lourde charrue dans une terre nouvelle, tandis que la sueur coule de la racine de leurs cornes, et que, liés

Mais Aias, l'agile fils d'Oileus, en tua bien plus encore, car nul n'était son égal pour atteindre ceux que Zeus met en fuite. Chant 15 Les Troiens franchissaient, dans leur fuite, les pieux et le fossé, et beaucoup tombaient sous les mains des Danaens. Et ils s'arrêtèrent auprès de leurs chars, pâles de terreur.

Et Hektôr au casque mouvant lui répondit d'une voix faible: Qui es-tu, ô le meilleur des dieux, qui m'interroges ainsi? Ne sais-tu pas qu'auprès des nefs Akhaiennes, tandis que je tuais ses compagnons, le brave Aias m'a frappé d'un rocher dans la poitrine et a rompu mes forces et mon courage? Certes, j'ai cru voir aujourd'hui les morts et la demeure d'Aidès, en rendant ma chère âme.

Et tu ne voulus point, divin Ménélaos, venir en aide aux compagnons attristés d'Antilokhos, aux Pyliens qui le regrettaient. Et il leur laissa le divin Thrasymèdès, et il retourna auprès du héros Patroklos, et, parvenu jusqu'aux Aias, il leur dit: J'ai envoyé Antilokhos vers les nefs, afin de parler au Pèléiôn aux pieds rapides; mais je ne pense pas que le Pèlèiade vienne maintenant, bien que très irrité contre le divin Hektôr, car il ne peut combattre sans armes. Songeons, pour le mieux, de quelle façon nous entraînerons ce cadavre, et comment nous éviterons nous-mêmes la mort et la moire

Et le Télamônien Aias l'atteignit au ceinturon, et la longue pique resta enfoncée dans le bas-ventre. Et il tomba avec bruit, et l'illustre Aias accourut pour le dépouiller de ses armes. Mais les Troiens le couvrirent d'une grêle de piques aiguës et brillantes, et son bouclier en fut hérissé.

Et Aias dit au brave Ménélaos: Divin Ménélaos, cherche maintenant Antilokhos, le magnanime fils de Nestôr, si toutefois il est encore vivant, et qu'il se hâte d'aller dire au belliqueux Akhilleus que le plus cher de ses compagnons est mort.

Il parla ainsi, et Idoméneus fouetta les chevaux aux belles crinières, jusqu'aux nefs creuses, car la crainte avait envahi son coeur. Et le magnanime Aias et Ménélaos reconnurent aussi que la victoire échappait aux Akhaiens et que Zeus la donnait aux Troiens. Et le grand Télamônien Aias dit le premier:

Si j'entendais le brave Aias dans la mêlée, nous retournerions tous deux au combat, même contre un dieu, et nous sauverions ce cadavre pour le Pèléide Akhilleus, et dans nos maux ceci serait pour le mieux.

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