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Mis à jour: 29 juin 2025
En quittant Adwa, j'eus le chagrin de me séparer de Jean, domestique basque que mon frère venait de m'amener de France. Je l'avais connu en Algérie, où il achevait son temps de service militaire, et il m'avait manifesté son regret de ne pouvoir me suivre lorsque je quittai l'Algérie pour la Grèce. Lors de son retour en France, mon frère ayant trouvé Jean libéré, lui avait proposé de me rejoindre, et, en véritable Basque, Jean n'avait pas hésité
À Adwa, je retrouvai Jean, qui n'était pas encore parti, et je pus jouir de la société des missionnaires catholiques récemment arrivés.
Comme on se le rappelle sans doute, en quittant Adwa j'avais envoyé mon cheval et les bagages de mon frère par la route directe et relativement facile des caravanes allant
Cet affront ne fut pas remarqué par le Prince; et comme le moment eût été mal choisi pour s'en plaindre, je crus devoir sortir avec mon compatriote, et nous regagnâmes Adwa, en nous promettant de revenir sur ce fait
Ce gouverneur, dépendant du pacha de l'Hedjaz, se nommait Aïdine; on lui donnait le titre d'Aga et parfois celui de Kaïmacam, ou lieutenant-colonel; son autorité était illimitée dans l'île; mais il n'en était pas de même sur la terre ferme, où un naïb (lieutenant) investi par le pacha de Djeddah, servait de transition équivoque entre l'autorité de Moussawa et les tribus des Sahos qui vivent dans les basses-terres s'étendant entre la mer et les premiers plateaux du Tigraïe. Ces naïbs devaient être choisis parmi les descendants malheureusement dégénérés d'une famille de colons turcs et belaw établie dans ce pays depuis plusieurs siècles. C'était au naïb qu'il fallait s'adresser afin de se procurer des chameaux et des guides pour gagner Adwa. Il habitait Dohono, village situé en terre ferme sur le bord de la mer,
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