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Je le crois comme vous, Françoise; et maintenant, quelque message, quelque lettre que vous receviez, même de moi, demeurez au château, faites répondre que vous êtes trop malade pour entreprendre un voyage; mais si vous recevez mon anneau, accourez. Sur ces mots le comte embrassa sa femme une dernière fois et partit.

Quelques femmes des halles s'assemblent. Après de courtes explications, le cortége se dirige vers l'Hôtel de Ville, et grossit en marchant. On ramasse dans les rues toutes les femmes qu'on rencontre, on pénètre même dans les maisons. «Accourez avec nous: les hommes ne vont pas assez vite; il faut que nous nous en mêlions

Pour eux, l'on cherche une gerbe emmêlée des milliers d'épis se courbent sous le grain, On l'étend sur la neige: « Accourez gent ailée, «Car votre nappe est mise, et prêt est le festinEt vous voyez d'ici le pinson, la fauvette, Le menu roitelet voleter

Dans les bras de Marie, après toutes vos fêtes, Vous accourez; Sous son voile étoilé cachant vos blondes têtes, Vous sommeillez... Charmants petits lutins, votre enfantine audace Plaît au Seigneur; Vous osez caresser son adorable Face, Quelle faveur! C'est vous que le Seigneur me donna pour modèle, Saints Innocents! Je veux être ici-bas votre image fidèle, Petits enfants.

Accourez; il m'entraîne, il ronge la ficelleJ'accourus plein d'effroi, et j'aperçus le petit philosophe couché sur une langue de terre, au bord du ruisseau, employant tout ce qu'il avait de forces

Je ne rirai jamais tant quand je vivrais plus que Cronos. Volé, volé, le miroir d'argentLa chanteuse voulait l'entraîner, mais Philotis avait compris. «Ohé! cria-t-elle aux autres en levant les deux bras en l'air. Accourez donc! on apprend des nouvelles! Le miroir de Bacchis est voléEt toutes s'exclamèrent: «Papaïe! Le miroir de Bacchis

O vous qui, souvent, avez mangé le même ail que mon maître, amis, concitoyens, qui aimez le travail, venez, hâtez-vous, accourez: ce n'est pas le moment de se mettre en retard, mais l'instant précis il faut payer de sa présence. ! ne vois-tu pas que nous nous sommes hâtés d'accourir empressés, autant que le peuvent des hommes affaiblis par l'âge?

C'était, par exemple, la parodie sur l'air populaire: «Si j'avais un âneElle commençait ainsi: Si j'avais un âne assez bête Pour se mettre dans la tête De ne point aller chez Jarley, Je rentrais mon baudet. Et vite, et vite, s'il vous plaît. Accourez tous chez Jarley.

Oh! malheur! malheur! ton poids m'accable et m'écrase! Oh! malheur, tu es pesant comme une montagne! Je succombe. Mon Dieu, ayez pitié de moiSes yeux se fermèrent pour jamais. Un cri d'effroi retentit dans le palais: «Sire, accourez, votre fille se meurtCette nouvelle éclata comme la foudre aux oreilles du vieillard. Il chérissait tant sa fille! il l'aimait plus que sceptre et couronne!

En effet, elle signifie: si vous êtes des galvaudeux, des bohèmes tapageurs et désordonnés, ce n'est pas la peine de solliciter un abri sous notre toit paisible. Au contraire, si vous êtes des gens respectables, douillets, amis des pantoufles feutrées et des capitons, accourez: il vous sera on ne peut plus profitable d'habiter chez nous.