Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 11 juin 2025
Si le père acceptait que sa fille dût travailler pour vivre et par un métier sinon par le talent s'assurer l'indépendance et la dignité de la vie, il n'en était pas de même chez la mère. Pour elle c'était le mari qui devait travailler, non la femme, et lui seul qui devait gagner la vie de la famille. Il fallait donc un mari pour sa fille. Comment en trouver un rue de l'Abreuvoir, où ils étaient aussi perdus qu'ils l'eussent été dans une île déserte au milieu de l'Océan
C'est pourquoi, sur divers points, il indiqua aux Jacques les chefs qu'ils devaient choisir, tandis qu'ailleurs il communiquait avec ceux qu'ils avaient élus d'eux-mêmes... il leur recommandait de raser tous les châteaux qui pouvaient nuire aux Parisiens. S'il redoutait les ravages et les meurtres inutiles, il acceptait le but de cette guerre, qui devait être l'abaissement de la noblesse.
La Reine acceptait les plans de Barnave. L'affaire du 17 juillet, où la proclamation de la loi martiale au Champ-de-Mars arrêtait la proclamation de la déchéance du Roi, ramenait une fraction du parti constitutionnel aux plans de Barnave, acceptés par la Reine. Cependant la Reine ne pouvait se faire illusion: «on démolissait la monarchie pierre
La malade acceptait tout de son mari sans lui savoir gré de rien. Ne lui avait-elle pas donné plus qu'il ne pourrait jamais rendre? Elle se répétait
La Reine acceptait la démission de M. de Polignac. Elle ne consentait pas
Et, cependant, elle leur souriait, aimable, gracieuse, leur parlant, les écoutant, paraissant intéressée par ce qu'ils lui disaient. Elle les acceptait donc, les uns comme les autres, indifféremment, celui-ci comme celui-l
Maintenant, il acceptait volontiers une Sixtine voisine du crime et même une Sixtine criminelle: dans ce dernier cas, cela voulait dire, par exemple: elle aimait, on la trompait, elle empoisonna le trompeur. Ah! il y a le pauvre empoisonné dont le sort peut troubler les sensibilités d'après coup: mais si au lieu de se défendre, Sixtine s'était laissée mourir, quel eût été l'assassin?
Sombre, défait, Gaston ne quittait guère son ami des yeux. La colère bouillonnait dans son coeur, il se sentait animé d'une haine mortelle contre celui dont l'épée avait frappé Bouchot. Par deux fois il interrogea Mme Hubert; la pauvre femme ignorait le nom de l'adversaire de son jeune maître. A n'en pas douter, M. de Champlâtreux avait été l'un des témoins de l'artiste, et cette circonstance éloignait l'image de René, qui passait avec persistance devant les yeux de Gaston. Bouchot, gai, vif, mordant, n'était pas querelleur; on acceptait ses vérités un peu rudes, grâce
Le moment d'arranger les parties étant venu, on lui proposait d'y prendre part; il acceptait toujours, et se traînait vers la table; on pouvait se convaincre que la maladie qui avait paralysé la plus grande partie de ses facultés ne lui avait pas fait perdre un point de son jeu. Peu de temps avant sa mort, M. Chirol donna une preuve authentique de l'intégrité de son existence comme joueur.
Le savoir qui méritait ce nom par son développement régulier, acceptait pour seul guide l'expérience. Il était conduit par les idées d'évolution et d'unité. Mais le savoir inchoatif et la métaphysique qui l'accueillait avec faveur en lui donnant le pas sur les branches constituées de la connaissance, admettaient encore un troisième principe: l'idée de l'au-del
Mot du Jour
D'autres à la Recherche