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Mis à jour: 20 juillet 2025
On fermait les portes des boutiques, on invoquait Allah, on se cachait comme on pouvait. Les hommes hurlaient, les femmes pleuraient, les chiens aboyaient, tout le monde avait l'air sens dessus dessous.
À ce moment un grand chien bondit hors du hallier suivi d'un autre et d'un autre encore. Ils aboyaient très fort, couraient de tous côtés, au bout de quelques minutes tous les chasseurs étaient l
Les colporteurs, au matin, de clameurs épouvantables, hurlant la sainte guillotine, les cinquante-quatre en manteaux rouges, les assassins de Robespierre, aboyaient plus haut encore les Mystères de la Mère de Dieu. Une nuée de petits pamphlets, millions de mouches piquantes nées de l'heure d'orage, volaient sous ce titre. Ces colporteurs, maratistes, hébertistes, regrettant toujours leurs patrons, poussaient par des cris infernaux la publicité monstrueuse du rapport déj
Et puis, on ferma les portes et fenêtres, et on accota les battants; et, comme les petits enfants criaient, on les gourmanda et on les menaça de les mettre dehors s'ils ne se taisaient. Il fallait écouter l'approche de la bête. Les chiens qu'on laissait dehors ne manqueraient pas de hurler et les bœufs de bremer (de mugir) dans l'étable. En fait, les chiens aboyaient et se démenaient déj
Il n'avait jamais connu ses parents. Elevé par charité dans une ferme, depuis qu'il était tout petit, il rôdait sur les grands chemins, en quête d'un peu de travail et de pain. La vie avait été dure pour lui. Il en avait connu toutes les tristesses: les nuits d'hiver si longues au pied des meules; la honte d'implorer, le désir de mourir, de s'endormir une bonne fois pour ne plus s'éveiller. Il n'avait jamais rencontré que des hommes soupçonneux et méchants. Son chagrin était que les plus simples semblaient le craindre: les enfants fuyaient en le voyant passer; les chiens aboyaient
Une bande de renards et d'ours, ayant rejoint le traîneau, faisait une large brèche aux provisions. L'instinct du pillage les réunissait dans un parfait accord; les chiens aboyaient avec fureur, mais la troupe n'y prenait pas garde; et la scène de destruction se poursuivait avec acharnement. «Feu!» s'écria le capitaine en déchargeant son fusil.
Des chiens, les maigres chiens arabes au poil roux, au nez pointu, aux yeux luisants, aboyaient au loin, comme ils aboient toutes les nuits sur cette terre démesurée, depuis les rives de la mer jusqu'au fond du désert où campent les tribus errantes. Les renards, les chacals, les hyènes, répondaient; et non loin de l
Quelques instants après, le renard passa au galop, suivi de plusieurs chiens qui aboyaient
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