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Mis à jour: 20 juillet 2025
Gringoire, de plus en plus effaré, pris par les trois mendiants comme par trois tenailles, assourdi d'une foule d'autres visages qui moutonnaient et aboyaient autour de lui, le malencontreux Gringoire tâchait de rallier sa présence d'esprit pour se rappeler si l'on était
Il se fit dans mon esprit un silence profond... J'étais trop absorbé d'ailleurs pour rien entendre, et cependant les chiens aboyaient toujours, en suivant leur proie
Des chiens aboyaient autour des fermes; et les mains sous son mantelet, avec ses petits sabots noirs et son cabas, elle marchait prestement, sur le milieu du pavé. Elle traversa la forêt, dépassa le Haut-Chêne, atteignit Saint-Gatien.
La disparition de Pad passa d'abord inaperçue des trappeurs. Leurs chiens aboyaient
Flor la passa dans une meule. Qui dort dîne, heureusement, car la pauvre petite Flor n'avait point dîné. »Le lendemain, elle marcha tout le jour sans rien mettre sous sa dent. Les chiens des quinterias aboyaient derrière elle, et les petits enfants lui envoyaient leurs huées. De temps en temps, elle trouvait sur la route l'empreinte conservée d'une sandale égyptienne: cela la soutenait.
Il examinait tout d'un oeil soupçonneux; il aperçut d'autres chiens qui le regardaient avec une curiosité méchante, qui aboyaient dans sa direction et le menaçaient et l'insultaient; sans doute il ne les craignait guère, surtout avec le maître, mais cela l'ennuya; il flaira des gens qu'il n'avait jamais sentis ni vus; il aperçut des bois sur lesquels il ne possédait aucune notion. Il se demanda où il trouverait des lièvres et comment il les chasserait et quelles seraient leurs ruses et leurs passages et leurs cantons, et cela lui fit songer
Dieu! qu'il fait bon! La tombée du soir imprégnait le parc de fraîcheur, faisait frissonner les arbres et s'exhaler de la terre des vapeurs imperceptibles qui jetaient sur l'horizon un léger voile transparent. Les trois vaches, debout et la tête basse, broutaient, avec avidité, et quatre paons, avec un fort bruit d'ailes, montaient se percher dans un cèdre où ils avaient coutume de dormir, sous les fenêtres du château. Des chiens aboyaient au loin par la campagne, et dans l'air tranquille de cette fin de jour passaient des appels de voix humaines, des phrases jetées
La chose était simple. Claude Frollo l'avait recueilli, l'avait adopté, l'avait nourri, l'avait élevé. Tout petit, c'est dans les jambes de Claude Frollo qu'il avait coutume de se réfugier quand les chiens et les enfants aboyaient après lui. Claude Frollo lui avait appris
Les enfants criaient. Les chiens aboyaient. Les oiseaux piaulaient. Les boeufs mugissaient. Les femmes piaillaient. Les hommes buvaient et se querellaient en parlant politique.
Les deux chiens aboyaient toujours, mais sans manifester aucun symptôme de cette colère qu'eut inévitablement provoquée l'approche d'animaux féroces. «Munro, dit alors Banks, demeure au campement avec Mac Neil et les autres. Pendant ce temps, Hod, Maucler, Kâlagani et moi, nous irons en reconnaissance.
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