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Qu'on ne soit pas surpris de voir que Dieu ait soufert que les malins Esprits fissent certaines choses qui tenoient du miracle. [Note marg.: Deut. XIII. 3. 2. Thess. II. 9.]Il étoit juste qu'il abandonnât

Et 1832, 1833, 1834 s'écoulèrent sans que les masses primitives de ce drame se détachassent assez clairement dans mon esprit, pour que mon esprit abandonnât ses autres rêves et s'attachât

Des négociations furent ouvertes avec des chefs de la Vendée, en même temps que des forces considérables furent dirigées contre eux. Tout annonçait la destruction prochaine de leurs bandes; mais les causes morales agissaient davantage. La renommée de Napoléon qui était grande dans la Vendée, fit craindre aux chefs que l'opinion du pays ne les abandonnât.

Dès que son père eut enfin consenti qu'il abandonnât les lois, il se livra plus ardemment que jamais

C'est cela même, mademoiselle. Je vous ferai grâce, cependant, des détails des nouveaux dangers que nous avons courus pendant trois mois, et de la joie qu'éprouva mademoiselle de Château-Giron en revoyant son époux. Bref, j'exigeai que Philippe abandonnât, momentanément au moins, cette terre de Bretagne sur laquelle il avait tant souffert. Sa santé délabrée ordonnait impérieusement le calme et le repos. Lui ne voulait pas partir; il se devait, disait-il,

Les forêts marchèrent en effet, quoi qu'en pût dire le Macbeth de la finance; mais Jean Bouvet était mort de chagrin et de misère, comme tous les inventeurs, quand ce prodige eut lieu. Un autre bourgeois, René Arnoul, prit l'idée abandonnée et la mit en pratique. Les petites rivières qui forment la partie supérieure du bassin de la Seine traversaient d'immenses forêts en quelque sorte vierges. Jean Rouve voulait qu'on y jetât les bûches, qu'on les abandonnât au courant, et qu'on leur fit ainsi parcourir sans frais un trajet considérable. Les bûches arrêtées ensuite

À ces terribles nouvelles il y eut en Europe tristesse et douleur, mais aucun élan. Saint Louis seul reçut la plaie dans son coeur. Il ne dit rien, mais il écrivit au pape qu'il allait prendre la croix. Clément IV, qui était un habile homme et plus légiste que prêtre, essaya de l'en détourner; il semblait qu'il jugeât la croisade de notre point de vue moderne, qu'il comprît que cette dernière entreprise ne produirait rien encore. Mais il était impossible que l'homme du moyen âge, son vrai fils, son dernier enfant abandonnât le service de Dieu, qu'il reniât ses pères, les héros des croisades, qu'il laissât au vent les os des martyrs, sans entreprendre de les inhumer. Il ne pouvait rester assis dans son palais de Vincennes, pendant que le mameluk égorgeait les chrétiens, ou tuait leurs âmes en leur arrachant leur foi. Saint Louis entendait de la Sainte-Chapelle les gémissements des mourants de la Palestine, et les cris des vierges chrétiennes. Dieu renié en Asie, maudit en Europe pour les triomphes de l'infidèle, tout cela pesait sur l'âme du pieux roi. Il n'était d'ailleurs revenu qu'

À ces terribles nouvelles, il y eut en Europe tristesse et douleur, mais aucun élan. Saint Louis seul reçut la plaie dans son coeur. Il ne dit rien, mais il écrivit au pape qu'il allait prendre la croix. Clément IV, qui était un habile homme et plus légiste que prêtre essaya de l'en détourner; il semblait qu'il jugeât la croisade de notre point de vue moderne, qu'il comprît que cette dernière entreprise ne produirait rien encore. Mais il était impossible que l'homme du moyen âge, son vrai fils, son dernier enfant abandonnât le service de Dieu, qu'il reniât ses pères, les héros des croisades, (p. 177) qu'il laissât au vent les os des martyrs, sans entreprendre de les inhumer. Il ne pouvait rester assis dans son palais de Vincennes, pendant que le mameluk égorgeait les chrétiens, ou tuait leurs âmes en leur arrachant leur foi. Saint Louis entendait de la Sainte-Chapelle les gémissements des mourants de la Palestine, et les cris des vierges chrétiennes. Dieu renié en Asie, maudit en Europe, pour les triomphes de l'infidèle, tout cela pesait sur l'âme du pieux roi. Il n'était d'ailleurs revenu qu'

La seconde année, ses honoraires augmentèrent de moitié; il vit sa position s'asseoir, et il exigea de sa mère qu'elle abandonnât sa fabrique. Il lui prouva, ce qui était exact, qu'elle épargnerait au-del

L'avis cependant était trop sérieux pour que l'empereur le négligeât, et il était occupé de soins trop importans pour qu'il les abandonnât légèrement. Il envoya de Boulogne même ses aides-de-camp au-devant de l'armée autrichienne, tant il avait peine