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Tandis que toutes les anciennes cellules étaient sombres, étroites et mal closes, les nouvelles étaient aérées, claires et bien construites. Je ferai la description de celle que nous habitions pour donner une idée de l'austérité de la règle des chartreux, même éludée et adoucie autant que possible.

[Illustration: A L'OUEST, ENTRE LA PORTE DES TERNES ET LA PORTE DE COURCELLES. Sur la largeur des fortifications (environ 130 mètres), dont le fossé sera remblayé au niveau des boulevards extérieurs actuels, s'élèveraient, le long de voies larges et aérées, des immeubles qui, dans le quartier représenté ici après sa transformation, offriraient tout le confort moderne. Au del

D'un côté se carre la ville riche avec ses cases hautes et aérées; de l'autre se presse la ville pauvre, triste assemblage de huttes basses et coniques, végète une indigente population, car Kouka n'est ni commerçante ni industrielle. Kennedy lui trouva quelque ressemblance avec un

Au rez-de-chaussée, de vastes salles chauffées pendant l'hiver, fraîchement aérées pendant l'été, servent, durant le jour, de lieu de conversation, d'atelier ou de réfectoire aux détenus.

«C'est extraordinairedisait Moraines au poète, qui dut sortir de la loge avec le mari, «elle avait été si gaie ce soir... Mais ces salles de théâtre sont trop mal aérées... Elle aura été désolée de n'avoir pu causer avec vous davantage, elle admire tant votre talent! Revenez nous voir... À bientôt, cher monsieur...»

Cette cour, formant un long parallélogramme, était plantée d'arbres, garnie de bancs; de chaque côté régnait une galerie d'une étrange construction; des cellules largement aérées avaient accès sur cette galerie; une cinquantaine d'hommes, uniformément vêtus de gris, se promenaient, causaient, ou restaient silencieux et contemplatifs, assis au soleil.

Aux Philippines, au contraire, le laboureur jouit d'un climat tempéré, d'un printemps perpétuel. Il n'a pas besoin de vêtements pour se couvrir. Il laboure son champ une ou deux fois, pour lui faire produire quatre-vingts et cent pour un. Il habite des maisons commodes, aérées, qu'il peut construire lui-même sans beaucoup de peine. Il se procure facilement des aliments aussi bons, aussi sains que ceux du riche. S'il veut changer ses pénates, il peut s'établir bon lui semble, prendre en terres l'étendue

Au sortir de l'église, l'évêque me conduit visiter l'école supérieure pour filles et l'hôpital, qu'il a également fondés. Les classes, au nombre de huit, sont grandes, bien aérées, garnies de cartes et de gravures pour l'enseignement. On y apprend aussi les ouvrages de main dans le genre de ceux qu'exécutent les paysannes. On y forme des institutrices pour les écoles primaires. A l'hôpital, il n'y a que cinq personnes, trois vieilles femmes très âgées, mais nullement indisposées, un vieillard de cent quatre ans, très fier de lire encore sans lunettes, et un Tzigane qui souffre d'une bronchite. Les familles patriarcales de la campagne gardent leurs malades. Grâce aux zadrugas, personne n'est isolé et abandonné. L'évêque se rend auprès de la supérieure des soeurs de charité qui desservent l'hôpital. «Elle est de la Suisse française, me dit-il, vous pourrez causer avec elle; mais elle est en grand danger. Elle doit aller