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Mis à jour: 11 juin 2025
Les diverses histoires de la guerre publiées en français ou en anglais, depuis 1914, en ont relaté les principales phases dans les plus grands détails. Je me bornerai tout simplement
Lettre écrite par le Sous-Lieutenant Ernest-Augustin BERTAULT, 132e Régiment d'Infanterie, tombé au champ d'honneur le 22 Septembre 1914. Ma dernière pensée sera pour tous ceux qui me sont chers, et pour mon pays qui bientôt sera le plus grand et le plus fier de tous.
Nous sommes 15 petits soldats français barricadés dans votre maison. Nous y sommes entrés précipitamment et force nous a été de faire des dégâts; nous en sommes très fâchés pour vous, mais il nous est impossible de faire autrement. Avant de mourir pour la France, pour la Belgique, nous vous réitérons nos regrets et vous saluons. Le 20 Août 1914. Bien chers Parents, Frères et Soeurs,
Je pense quitter Grenoble lundi 20 courant, pour aller m'entraîner, car je suis mobilisable depuis fin février 1914, ce qui me donne l'espoir de partir au premier convoi; au 140e, cela va rondement.
C'était le 26 juillet 1914, un dimanche. Nous nous promenions, ma femme et moi, dans le parc d'un village pyrénéen. Le soleil dardait ses rayons chauds et vivifiants, incendiant toute la vallée du Gave. Soudain, un camelot s'approche de nous portant sous son bras un paquet de journaux. Le gamin criait
Antérieurement, la proclamation du 29 octobre 1914 (Bulletin de Lille, N° 1, du 15 novembre 1914), portait: «Art. 15: Le tirage et la distribution de journaux, circulaires et imprimés de toute espèce renfermant des nouvelles actuelles n'ayant pas été soumis
Ton fils chéri, Paris, 18 Septembre 1914. Cher Père, Les forces me manquent pour pouvoir te faire une longue lettre; tu peux croire que j'y mets toute ma bonne volonté pour t'écrire ces quelques lignes. Je suis tombé blessé le 7 Septembre au combat de la Marne. J'ai reçu le boulet dans le dos en pleine force et cela a produit la paralysie.
Le chancelier ne fut pas le seul, le 4 août 1914,
Inévitablement, il fallut bien parler de la guerre, mais, quel que fût l'honneur que la tante Alphonse tirât de son neveu, la guerre, pour elle, c'était surtout le peu qu'elle en ressentait personnellement; c'était le souvenir de Bordeaux en 1914; c'étaient quelques visites aux hôpitaux, la compassion qu'inspirent les deuils.
En attendant ce jour, recevez, mes braves amis, les plus grands souvenirs et le gage de la plus profonde amitié. Lettre écrite par Marcel DUCREUX, engagé volontaire au 4e Régiment mixte de Zouaves, tombé an champ d'honneur. Fin Décembre 1914. Mes chers parents,
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