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Mis à jour: 14 juillet 2025


«On vient de m'apporter le chat du pauvre pape; il est tout gris, et fort doux comme son ancien maître.» «Rome, samedi 21 février 1829.

«Rome, le 25 février 1829. «Je suis sans nouvelles de Paris, depuis le départ de mon premier courrier, porteur de l'annonce de la mort du pape: jugez de mon impatience. J'ignore ce que l'on veut, et si les cardinaux français viendront; en attendant, je fais ce que je puis, et les choses vont leur train. Tout fait espérer une élection prompte et un pape modéré: c'est tout ce que je puis désirer; mes courriers sont déj

Toulon, le 25 décembre 1829. «Soyez sans inquiétude, tout ira bienc'est en ces termes que je dis adieu

«Soignez bien surtout votre santé. Vivez longues et longues années, pour qu'il y ait quelqu'un dans le monde qui se souvienne de moi.» «Rome, jeudi 22 janvier 1829.

«Ce soir partira un attaché avec une longue lettre pour vous.» «Rome, mardi 10 février 1829, 11 heures du soir. «Je voulais vous écrire une longue lettre, mais la longue dépêche que j'ai été obligé d'écrire de ma propre main, et la fatigue de ces derniers jours, m'ont épuisé.

J'ai enfin les lettres de Paris des 30 janvier, 22 mars et 10 avril; j'attends toujours celles auxquelles j'apporterai moi-même les réponses.... Adieu. Sur le Nil, près d'Antinoé, le 11 septembre 1829.

A partir de 1816, la petite société philosophique qui se réunissait chez M., de Biran avait pris plus de suite, et l'émulation s'en mêlait. On y remarquait M. Stapfer, le docteur Bertrand, Loyson, M. Cousin. Animé par les discussions fréquentes, M. Ampère était près, vers 1820, de produire une exposition de son système de philosophie, lorsque l'annonce de la découverte physique de M. Oersted le vint ravir irrésistiblement dans un autre train de pensées, d'où est sortie sa gloire. En 1829, malade et réparant sa santé

Je dois parler ici du général Diebitsch dont la vie, quoique courte, a été marquée par des succès brillants et des revers qui ont empoisonné les derniers moments de sa carrière. Le général Diebitsch était un homme très-distingué, très-instruit, ayant des idées saines et toutes les bonnes doctrines sur la guerre. J'ai eu de très-longues conversations avec lui, et je l'ai vu pénétré de ces principes simples qu'une expérience plus longue que la sienne m'a montrés être l'essence du métier. Son activité était extrême, sa bravoure brillante, sa volonté forte. Il avait donc toutes les qualités nécessaires pour commander. La mauvaise campagne de 1828, contre les Turcs, n'est pas son ouvrage. Celle de 1829 lui appartient et lui fait honneur. Quant

«Toutes nos opérations devaient cette fois s'exécuter dans le golfe du Lion, et ces opérations devenaient de plus en plus difficiles, car nous étions en 1829. La tranquillité était parfaitement rétablie, et par conséquent le service des côtes était redevenu plus régulier et plus sévère que jamais.

Avril 1829. Comme correctif

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betlem

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