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Mis à jour: 9 juin 2025


On ne reviendra pas ici sur les grands événements de la fin de 1813 et du commencement de 1814. Ceux qui en ont été témoins n'ont pas besoin qu'on les leur rappelle, et les jeunes générations en ont sans doute lu le récit. Un seul fait sur lequel il est important d'appuyer pour l'intelligence de cette histoire est la terreur profonde que l'on éprouva

Il était membre de l'académie de cette ville, qui comprenait alors les hommes les plus distingués, et les plus illustres savants de l'Allemagne. Il a laissé de nombreux ouvrages, des poèmes, des romans, des pièces de théâtre, etc. Il mourut en 1813. Pierre Frédéric, prince de Lübeck, régent du duché d'Oldenbourg au nom de son cousin.

Dès le mois de novembre 1813, les négociations avaient commencé. Les alliés offraient alors les frontières des Alpes et du Rhin. Napoléon consentit

L'hiver de 1813 se passa ainsi en Allemagne. Pendant ce temps, une nouvelle armée, sous le nom d'armée d'observation du Mein, se formait sur la frontière et se préparait

Monsieur le Président. Messieurs, Avant de répondre au toast qui m'a été dévolu, mon devoir est de faire remarquer le caractère particulier et grand de la démonstration. Il y a cent-vingt ans que nous sommes passés sous la domination anglaise. Nous fêtons aujourd'hui la gloire d'un Canadien-Français qui s'est immortalisé dans la défense du pavillon anglais en 1813. La fête est présidée par Son Excellence le gouverneur-général, le marquis de Lorne, le représentant direct de Sa Majesté la reine Victoria. Son discours généreux et noble, nous a profondément émus. Le lieutenant-colonel Harwood, représentant les deux races appartenant au département de la milice du Canada a démontré le principe de la vitalité de la race française. Son excellence le lieutenant-gouverneur de la province de Québec, mon ami, l'honorable M. Théodore Robitaille, aussi représentant de Sa Majesté, vous a fait un discours marqué au même coin du patriotisme le plus pur; et tout Cela, Monsieur le président et Messieurs, se fait

«Lutzen, le 2 mai 1813, neuf heures et demie du matin.

Les historiens de la campagne de 1812 en Russie ont raconté ses désastres avec trop de détails pour que, sans y avoir assisté, je m'occupe de les décrire. L'ouvrage de M. de Ségur porte avec lui la conviction et doit être placé en première ligne. J'ai pu juger, dans la campagne suivante, des dispositions physiques et morales de Napoléon. Il était en 1813 tel que M. de Ségur le dépeint en 1812. Plus tard, j'ai pu apprécier l'exactitude de ses récits quand il décrit les lieux se sont passées les grandes scènes de cette époque. Enfin il a bien peint le caractère des événements dans une armée livrée

[Note 8: Le duc de Raguse, comme on l'a vu dans ses Mémoires, avait été blessé en Espagne. Il fit toute la campagne de 1813 le bras en écharpe; il n'était pas encore guéri lorsqu'il reçut ces dernières blessures. (Note de l'

La correspondance de Reinhard et celle de M. de Malartie, son secrétaire de légation, du 10 octobre au 10 novembre 1813, feront connaître les événements qui eurent lieu en Westphalie pendant le dernier mois du règne de Jérôme, la rentrée du roi dans sa capitale et sa retraite définitive. Coblentz, le 10 octobre 1813.

La campagne de Russie amena le désastre des armées françaises dans le Nord, comme l'injuste guerre d'Espagne avait amené les désastres de l'armée française dans le Midi. La fortune se lassait de suivre Napoléon. Profondément affligé des malheurs de sa patrie, Louis, resté toujours bon Français, écrivit le 1er janvier 1813

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