United States or Martinique ? Vote for the TOP Country of the Week !


Cet événement eut lieu en 1617; on en trouve le détail dans les Mémoires de Déageant; Grenoble, 1668, in-12, pag. 74 et suiv. Le gentilhomme y est appelé Gignier. Levassor a suivi le récit de Déageant dans son Histoire de Louis XIII, liv. 2e; Amsterdam, 1757, in-4º, tom. 1er, pag. 681. Les Mémoires de Déageant n'ont pas été réimprimés dans la Collection des Mémoires relatifs

Aussi, l'on ne doit pas s'étonner qu'il fût compris dans la promotion aux titres de noblesse qui eut lieu l'année suivante, en 1668, et l'on réunit tous ceux qui avaient rendu les services les plus éminents

Jacques d'Autun rapporte un orage extraordinaire accompagné de grêle excité en Languedoc par des sorciers l'an 1668.

Voici l'ordre des naissances de ces enfants, auxquels Le Moyne, pour les distinguer, donna des noms empruntés aux localités des environs de Dieppe, en souvenir de la patrie absente: «En 1650, Charles de Longueuil; en 1659, Jacques de Sainte-Hélène; en 1661, Pierre d'Iberville; en 1663, Paul de Maricourt; en 1668, Joseph de Sérigny; en 1669, François de Bienville; en 1670, anonyme; en 1673, Catherine-Jeanne; en 1676, Louis de Châteauguay; en 1678, Marie-Anne; en 1680, Jean-Baptiste de Bienville, deuxième du nom; en 1681, Gabriel d'Assigny; en 1684, Antoine de Châteauguay

Il avait une très belle femme qu'il droguait sans cesse pour conserver sa beauté; il la nourrissait de poulardes nourries elles-mêmes de la chair de vipères; ce qui ne l'empêcha pas de mourir très jeune, et qui peut-être y contribua. J'ai un petit livre, imprimé avec «Privilège de roi», daté de 1668.

Or, une certaine Mary Frith, ou Moll la Coupeuse de bourses, resta célèbre au moins jusqu'en 1668. Elle mourut extrêmement âgée. Elle avait connu les contemporains de Shakespeare, peut-être Shakespeare lui-même. Voici ce qu'en rapporte Granger (Supplément

Au commancement du mois de Mars de l'année 1668. un jeudy au soir le Commandant de la Marine avertit nostre Capitaine de partir le lendemain, la nuit se passa en rejoüissances &

Au boulevard Beaumarchais commence la ligne des boulevards intérieurs du nord, ces anciens remparts de la ville, qui ont été transformés depuis 1668 en une promenade de 4,600 mètres de longueur. Cette promenade est restée, pendant près d'un siècle, une sorte de désert l'on menait paître les bestiaux, qui n'était bordée au nord que par les derrières des jardins de la ville, au midi que par de grands terrains en culture; elle n'était guère pratiquée que par des vagabonds et des malfaiteurs. Sous Louis XV, elle devint une (p.093) promenade champêtre, terrassée, sablée, composée de deux et même, en quelques endroits, de quatre allées d'arbres, bordée de quelques petites maisons, de nombreux jardins, de guinguettes, de petits théâtres, le peuple se portait le dimanche pour y trouver le grand air et les lieux de plaisir; le beau monde, le jeudi, pour y faire voir ses toilettes et ses équipages. Après la révolution, quelques boutiques commencèrent

Le 10 juillet 1668, nouvelles réjouissances: dans la journée, représentation des Fêtes de l'Amour et de Bacchus, paroles de Quinault, musique de Lulli, et de Georges Dandin, joué par Molière et par sa troupe; le soir, festin et bal;

M. Bazin a fait son édition au moyen de la Carte imprimée en 1668 et de deux copies manuscrites qui, comme toutes les copies manuscrites de pamphlets