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N'ayant point vu Ney depuis notre dernière et si singulière entrevue, je lui écrivis; mais n'ayant point reçu de réponse

Souvent je lui écrivis des lettres brûlantes que je ne lui envoyai pas, mais que je conservai pour qu'il les lût seulement après ma mort, car j'estimais alors qu'il est de ces déclarations que les trépassés, les expiants seuls ont le droit de formuler par del

J'ai usé de la permission et il a reçu plusieurs de mes lettres, dans le courant de l'automne 1913 et du printemps 1914. Il me répondait, et ses réponses, des images orientales si jolies se mêlaient aux choses précises, indiquaient bien qu'il avait été épargné par le modernisme. La dernière fois que je lui écrivis, ce fut en même temps qu'

Lorsque le spectacle fut terminé, je lui écrivis trois lignes au crayon. Je lui disais que, s'il n'avait rien de mieux

C'était un jeu pour moi, et un divertissement joyeux pour sa mère et pour la mienne. Il avait douze ans! Songez! qui donc aurait pris au sérieux cette passion d'atome? Je l'embrassais tant qu'il voulait; je lui écrivis même des billets doux que lisaient nos mères; et il me répondait des lettres, des lettres de feu, que j'ai gardées. Il croyait secrète notre intimité d'amour, se jugeant un homme.

Je lui écrivis. Dès lors je connus

«Charlotte Sauvigny, répliqua-t-il, ne saura jamais ce qu'elle vaut et qu'elle peut soutenir et défier toutes les comparaisons. Un soir, une belle Suédoise, puisqu'il est convenu qu'elles sont belles, me pria d'écrire quelque chose sur son album. J'y écrivis ce mot de Gœthe: «La plus belle qualité d'une femme est d'être une nature». Elle rougit modestement, elle avait pris le compliment pour elle, sans se douter que je venais de tracer sur son album le fidèle portrait de la dame de mes pensées. On fait bien de voyager, on s'instruit. Charlotte Sauvigny est la femme de tous les bons conseils, elle est plus sage que la reine de Saba, et elle a les grâces et la délicieuse candeur d'une jeune pensionnaire. Je me suis convaincu en voyageant qu'elle est unique, qu'on chercherait vainement sa pareille en Danemark, en Suède et, je suppose, dans les cinq parties du monde. Mais, je le répète, elle est dure pour son chevalier, qui languit dans l'attente. Je la supplie de me faire savoir ce que je puis espérer d'elle et si elle consent

«Gio. Francesco m'a écrit ces jours derniers «qu'il m'avait trouvé quelques objets d'antiquité «et qu'ils coûtaient dix ducats. Pensant que le tout «était du consentement de Jules, je vous écrivis «de vouloir bien lui donner ces dix ducats. «Aujourd'hui, j'apprends que l'opinion de Jules est «que ces objets n'ont pas une grande valeur: je «désirerais donc, si vous ne lui avez pas remis les «ducats, que vous ne les remissiez pas, en vous «excusant du mieux que vous pourrez, lui disant, «par exemple, que vous n'avez plus d'argent

Très dépité, très intrigué j'allai au club et, après bien des réflexions, je lui écrivis une lettre je la priai de me permettre de voir si je serais plus heureux une autre fois. La réponse se fit attendre plusieurs jours; mais

D'aller le voir. Bien entendu, c'est ce que vous avez fait. Et de deux! Il ne m'a répondu que trois jours après. Naturellement! Continuez. Il m'a envoyé trois lignes tout juste polies, en me remerciant de la peine que j'avais prise, et en me proposant... Rien du tout. C'est cela même. Alors je lui écrivis plus de détails sur mon invention... Et de trois!