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Mis à jour: 22 juin 2025
Il y a en Nouvelle-Zélande 911 écoles publiques, avec 2,143 professeurs et 68,000 élèves des deux sexes; 15,000 environ fréquentent les écoles privées, et 7,000 sont instruits dans leur famille; 80% des enfants entre 5 et 15 ans fréquentent les écoles; le nombre des personnes qui savent lire et écrire en 1881 est de 71% de la population.
Ces questions générales et en quelque sorte préliminaires ainsi résolues, restaient les questions spéciales dont la solution devait devenir le texte et le commandement de la loi. Quels doivent être les objets et les limites de l'instruction primaire? Comment se formeront et se recruteront les instituteurs publics? Quelles autorités seront chargées de la surveillance des écoles primaires?
Eutrope et le père Chapdelaine affirmèrent leur confiance en même temps: Tit'Sèbe guérit le monde; c'est sûr. Il n'a pas passé par les écoles, lui; mais il guérit le monde.
Je rêve encore davantage. Je voudrais que les semences de la culture universelle fussent répandues, dès la première éducation, parmi l'enfance des gymnases et des écoles. J'exprimerais notamment le vœu qu'on établît, dans les écoles primaires de tous les pays d'Europe, l'enseignement obligatoire d'une langue internationale. Il en est d'
Les dispositions précédentes de la présente loi sont applicables auxdites écoles. Donné
D. Pensez-vous que dans ces écoles l'éducation soit conduite aussi loin, et que les enfants y répondent aussi bien que dans nos écoles d'Angleterre? R. Je ne pense pas que des enfants placés dans une position égale auraient pu soutenir plus convenablement un examen. D. Quels étaient les sujets d'instruction? R. La lecture de l'anglais, le hollandais étant la langue du pays.
Son premier dessein fut d'être artiste et poète. Tout de suite et le plus naturellement du monde, il donna dans les extravagances extrêmes des plus jeunes écoles, de celles qui se composent d'un maître et quelquefois d'un disciple. Pendant plusieurs années, tous les adolescents symbolistes, décadents et instrumentistes, tous les pseudo-primitifs, et les pseudo-mystiques, et les néo-moyenâgeux, tous les inventeurs de frissons nouveaux et de prosodies inaccoutumées, tous les occultistes, les sârs, les rose + croix et les sadiques, et aussi les musiciens pour qui Wagner n'est qu'un précurseur et qui orchestrent «J'ai du bon tabac» avec les bruits de la grève et de la forêt, et encore les peintres esthètes, les peintres bleus et jaunes, ceux qui dessinent très mal de longues âmes encerclées de petits plis et tenant des lis dans leurs mains d'âmes, et pareillement les pointillistes, les tachistes, les luministes, ceux qui voient les paysages comme des envers de tapisseries et qui, sous prétexte que tout dans le monde des couleurs n'est qu'échange de reflets, peignent des cuisses mauves et des seins couleur de soufre, tous les ahuris ou tous les farceurs de la littérature et de l'art, tous les désireurs d'on ne sait quoi eurent leur couvert mis chez le prince Renaud et puisèrent dans sa bourse crédule. Il donnait dans son palais des spectacles étranges et puérils où des cabotines en robes blanches, les cheveux poudrés de violet, étaient crucifiées pour l'amour de Satan, qui était aussi Jésus, et où le choeur des cochers verts et le choeur des cochers bleus chantaient alternativement des hymnes ésotériques devant Théodora la chercheuse, qui rêvait, les yeux fixés sur le scorpion d'améthyste allongé entre ses deux seins, cependant que des vaporisateurs exhalaient des parfums verts, bleus, jaunes, rouges, subtilement assortis aux vêtements des interprètes,
Ces premières apparitions du véritable tempérament de son fils durent peiner et courroucer William Burnes. Austère et religieux, rendu plus sombre par le malheur et plus exigeant par la misère, il voyait avec chagrin son aîné chercher des occasions de dissipation et de dépense. Le premier différend se produisit entre le père et le fils quand celui-ci se mit dans l'idée de suivre une de ces écoles de danse qui commençaient
Ainsi, qu'il organise dans ses filatures un économat, car les ouvriers mêmes ne seraient pas capables de former «l'artel»; qu'il établisse, comme veut la loi, des hôpitaux et des écoles, qu'il paie un médecin pour ses travailleurs, il n'en reste pas moins qu'il faut les exploiter pour mener
L'une, par cela même qu'elle est volontaire, se rattache au principe de la liberté et entre comme élément harmonique dans le jeu des lois sociales; l'autre, parce qu'elle est forcée, appartient aux écoles qui ont adopté la doctrine de la contrainte, et inflige au corps social des maux inévitables.
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