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Puis, sur ces mots qu'il croyait être pleins de gracieuseté, le roi se retira suivi de toute la cour, laissant la nouvelle mariée éperdue, désespérée, au bras de Philippe. Oh! murmura-t-elle, c'en est trop! c'en est trop, Philippe! Il me semblait pourtant avoir assez supporté!... Courage, dit tout bas Philippe; encore cette épreuve, ma soeur. Non, non, répondit Andrée, je ne le pourrais pas.

Au-dessus de cette société, puisqu'on effet c'en était une, au-dessus de cette élite ardente et poétique d'une génération, s'élevait sans élection, sans titre, sans priviléges, sans l'avoir voulu et sans le savoir, l'Agamemnon de M. Delécluze. Nous ne l'appelions pas Agamemnon cependant.

Il était si désespéré qu'il en devint presque fou. Cette fois c'en était fait. Valentine mariée n'était pas si loin que ne le devenait Valentine repentie. Il ne la verrait donc plus! Il ne rallumerait pas cette belle passion qui le tuait dans les délires et les délices! Il fallait donc tenter l'impossible pour arracher cette pécheresse

C'en est trop! interrompit Laurent. Ne vous faut-il pas que j'entre dans vos plans jusqu'

Quand je sentis sa main s'appuyer doucement sur mon bras, le coeur me manqua, et je n'osai tourner mes yeux de son côté. Ainsi, dit-elle après quelques pas, vous ne voulez plus me voir? C'en était trop.

a dit M. Delavigne d'après Horace. Millevoye a laissé au courant du flot sa feuille qui surnage; son nom se lit dessus, c'en est assez pour ne plus mourir. On m'apprenait dernièrement que cette Chute des Feuilles, traduite par un poëte russe, avait été de l

L'enterrement fut donc religieux et très édifiant; on eût dit un triomphe, et c'en était un! Remerciements et actions de grâces au Sacré-Cœur et

C'en est vraiment de trop; ces montagnes fourmillent de gens, mon royaume n'est plus de ce monde, j'ai besoin de montagnes nouvelles. Mon ombre m'appelle! Qu'importe mon ombre! Qu'elle me coure après! Moi je me sauve d'elle."

C'en était fait! Innocent, il se voyait traîné sur la claie de la plus infamante publicité. Sa douleur devenait un des aliments de l'insatiable curiosité, un sujet de faits-divers, le texte des commentaires des imbéciles et des méchants. Après avoir défrayé la chronique quotidienne du scandale, le crime du caissier du Crédit mutuel allait passer,

L'accent de M. Gandelu trahissait un tel excès d'horreur, on sentait si bien que pour lui, désormais, c'en était fait de tout bonheur ici-bas, que André demandait, non sans effroi, quelle révélation il allait entendre. Ce devait être horrible, car l'assurance du jeune M. Gaston faiblissait, et sa verve si spirituelle et si brillante paraissait éteinte.