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Non. L'orgueil humain sera éternellement tourmenté du désir de trouver au Pouvoir temporel absolu une base incontestable, et il est dit que toujours les sophistes tourbillonneront autour de ce problème, et s'y viendront brûler les ailes. Qu'ils soient tous absous, excepté ceux qui osent toucher

La pureté de sa doctrine, puisée dans la nature et dans la haine profonde du vice, autant que son mépris invincible pour les sophistes intrigans qui usurpaient le nom de philosophes, lui attira la haine et la persécution de ses rivaux et de ses faux amis.

Matth., I, 23; IV, 6, 14; XXVI, 31, 54, 56; XXVII, 9, 35; Marc, XIV, 27; XV, 28; Jean, XII, 14-15; XVIII, 9; XIX, 19, 24, 28, 36. Jean, VII, 34; IV Esdras, XIII, 50. Act., VIII, 9 et suiv. Voir sa biographie par Philostrate. Voir les Vies des sophistes, par Eunape; la Vie de Plotin, par Porphyre; celle de Proclus, par Marinus; celle d'Isidore attribuée

Parmi ceux qui, du temps dont je parle, se signalèrent dans la carrière des lettres et de la philosophie, un homme* [* Jean-Jacques Rousseau.], par l'élévation de son âme et par la grandeur de son caractère, se montra digne du ministère de précepteur du genre humain. Il attaqua la tyrannie avec franchise; il parla avec enthousiasme de la divinité; son éloquence mâle et probe peignit en traits de flamme les charmes de la vertu; elle défendit ces dogmes consolateurs que la raison donne pour appui au coeur humain; la pureté de sa doctrine, puisée dans la nature et dans la haine profonde du vice, autant que son mépris invincible pour les sophistes intrigants qui usurpaient le nom de philosophes, lui attira la haine et la persécution de ses rivaux et de ses faux amis. Ah! s'il avait été témoin de cette révolution dont il fut le précurseur et qui l'a porté au Panthéon, qui peut douter que son âme généreuse eût embrassé avec transport la cause de la justice et de l'égalité? Mais qu'ont fait pour elle ses lâches adversaires? Ils ont combattu la révolution, dès le moment qu'ils ont craint qu'elle n'élevât le peuple au-dessus de toutes les vanités particulières; les uns ont employé leur esprit

Tite-Live, XXIII, 13, 14, 39; XXIV, 2, 3. Tite-Live, XXXIV, 31. Tite-Live, I, 38; VII, 31; IX, 20; XXVI, 16; XXVIII, 34. Cicéron, De lege agr., I, 6; II, 32. Festus, v° Praefecturae. Cicéron, pro Balbo, 16. Tite-Live, XLV, 18. Cicéron, ad Att., VI, 1; VI, 2. Appien, Guerres civiles, I, 102. Tacite, XV, 45. Philostrate, Vie des sophistes, I, 23. Boeckh, Corp. inscr., passim. Gaius, IV, 103, 105.

Phidippide reste chez les sophistes, et profite des leçons de Socrate un peu plus vite que Strepsiade; si bien même qu'au bout de quelques instants il sait se défaire des créanciers, puis lever la main sur son père lui-même, et lui prouver par les deux raisonnements, juste et injuste, qu'il fait bien de le battre, voire même contraindre le bonhomme

Dans des temps moins avancés, les poètes et les sophistes lisaient leurs livres aux assemblées des peuples. Il faut que les choses soient lues selon la manière dont elles ont été faites, et qu'elles soient faites selon qu'elles doivent être lues. L'art de lire est comme celui d'écrire. Les grâces et la vérité de l'expression dans la lecture sont infinies comme les modifications de la pensée: je conçois

Non, non, par Zeus! Sache que ce sont elles qui nourrissent une foule de sophistes, des devins de Thourion, des empiriques, des oisifs

Certes, Aristophane a raison d'attaquer les mauvais sophistes, de poursuivre de ses sarcasmes ces docteurs sans conscience et sans foi qui déconcertent la raison par le raisonnement; mais il attaque en même temps la dialectique véritable, la métaphysique, et la physique elle-même, qui venait de naître et qui déj

Socrate, tout an réprouvant l'abus que les Sophistes faisaient du droit de douter, était pourtant de leur école. Comme eux, il repoussait l'empire de la tradition, et croyait que les règles de la conduite étaient gravées dans la conscience humaine. Il ne différait d'eux qu'en ce qu'il étudiait cette conscience religieusement et avec le ferme désir d'y trouver l'obligation d'être juste et de faire le bien. Il mettait la vérité au- dessus de la coutume, la justice au dessus de la loi. Il dégageait la morale de la religion; avant lui, on ne concevait le devoir que comme un arrêt des anciens dieux; il montra que le principe du devoir est dans l'âme de l'homme. En tout cela, qu'il le voulût ou non, il faisait la guerre aux cultes de la cité. En vain prenait-il soin d'assister