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Je note que M. Gerhard Gran semble, après M. le prof. Fredrik Stang, restreindre ses ambitions

La traduction de Wilhelm Gerhard. Ranke et la Guzla. Otto von Pirch. Siegfried Kapper. La critique de M. Depping. § 2. Goethe et la Guzla. «La Guzla» en Angleterre. Mérimée et John Bowring. § 2. La critique de la Monthly Review. § 3. La critique de la Foreign Quarterly Review. «M. MervincetMrs. Shelley. «La Guzla» dans les pays slaves.

En réalité, M. Gerhard ne fut jamais ni un docteur, ni une «autorité»; les dictionnaires biographiques de sa patrie sont pleins d'ingratitude pour une vie aussi laborieuse; ils ne croient même pas devoir mentionner son nom.

1er juin 1918. Pour l'Internationale de l'Esprit Le généreux appel de M. Gerhard Gran ne peut rester sans écho. Je l'ai lu avec une vive sympathie. Il a une vertu bien rare,

Sans doute, il obtint ces feuilles avant d'avoir «perdu le goût et J'envie» de les traduire, car quatre mois après l'apparition de la Guzla, le livre de M. Gerhard était prêt ; il parut

Ce fut M. Gerhard qui donna la version allemande de la Guzla. Pendant l'impression même du livre, les bonnes feuilles lui avaient été communiquées par son nouvel ami M. Berger , et M. Gerhard lui écrivait en les lui renvoyant

Tel était «M. Gerhard, conseiller et docteur quelque part en Allemagne», dont parle l'auteur de la Guzla dans sa seconde préface; le «juge compétent» que citent tous les biographes de Mérimée, Taine l'appelle «savant allemand », «l'autorité allemande» selon l'expression de l'illustre critique qu'est M. George Saintsbury !

L'intervention de ce dieu dans la guerre des Géants est plusieurs fois représentée sur les vases peints; dans cette lutte, il a pour auxiliaires des animaux qui sont ses symboles, la panthère, le lion et le serpent . Les légendes béotiennes racontaient que Bacchus avait vaincu Triton qui enlevait des troupeaux sur les côtes, et ce Triton ne devait être qu'un pirate puissant. Gerhard, Auserl-Vas.

On remarque dans cette traduction, d'abord, le décasyllabe, «vers de l'original», dans lequel M. Gerhard avait déj

Mais pour en finir avec M. Gerhard, disons encore une fois qu'il n'était pas un érudit, ni un docteur, ni une autorité dans la matière; et que cette légende savamment accréditée par Mérimée, longtemps soutenue par la confiance que lui ont témoignée des critiques comme Taine, Brandes, Saintsbury, doit enfin s'évanouir.