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M. Grenier nous dit dans sa préface avec une fierté légitime et une modestie exagérée: «... Tout ce qu'il m'est permis d'entrevoir et de dire, c'est que j'ai cherché la clarté, la pureté et l'élévation; j'ai aspiré au grand art.

La préface mise en tête de l'édition de Justine de 1797 est curieuse

Le Cavalier Miserey, 21e chasseurs, a fait quelque bruit ces jours-ci. C'est un roman naturaliste et ce roman naturaliste est un roman militaire. «J'essaye le premier, dit l'auteur dans sa préface, d'appliquer une vision artiste et les procédés du roman d'analyse

C'était le meilleur, le plus libéral et le plus clément de tous les rois, que j'attaquais sans peur... et sans danger dans cette préface misérable; et la belle oeuvre, après tout, de l'injurier dans ses ancêtres, et la belle ambition de ressembler

M. Hallam est celui avec qui j'ai été le plus intimement lié. Dès que je l'ai connu, et plus je l'ai connu, son caractère et son esprit m'ont également attiré et attaché. Avant 1830, ses beaux travaux historiques, surtout son Histoire constitutionnelle d'Angleterre, firent naître entre nous de bienveillants rapports; dans la préface de ce dernier ouvrage, il avait parlé de moi et de mon Histoire de la Révolution d'Angleterre en termes dont je ne pouvais qu'être très-honoré et touché. Après 1830, je le vis

La Porte du Baiser, traduit de l'anglais de J.W. HARDING, par F. BOUTET, préface de M. le Comte Robert DE MONTESQUIOU. Un vol. in-18 jésus, couv. illustrée, dessins hors texte . . . 3 fr. 50 «La Porte du Baiser illustre l'une des épopées les plus intéressantes de l'histoire du peuple d'Israël: la guerre entre Ezéchias et Sennachérib, le terrible roi de Babylone

Conversations avec des enfants sur les questions morales. Préface aux Pensées choisies de La Bruyère, La Rochefoucauld, Vauvenargues, Montesquieu, et courtes esquisses biographiques. Aimez-vous les uns les autres. Tu ne tueras personne. Sur les compréhensions de la vie. Première rencontre avec Ernest Crosby.

À la fin de la Préface générale de mes OEuvres, 1826, 1er volume, j'apostrophe ainsi la France: «

Vous dites, page 12 de la préface de vos sermons: «Au reste il y a des incrédules plus ignorants que M. Paine, tels que MM. Volney, Lequinio et autres en France qui prétendent, etc

A l'appui de cette dénonciation, il relève dans les deux ouvrages d'Abélard treize articles condamnables, et il indique les noms d'autres livres qu'il ne connaît pas et qu'on tient cachés: c'est le Oui et le Non, c'est le Connais-toi toi-même, dont les titres, qu'il trouve monstrueux, lui paraissent annoncer dans le texte d'autres monstruosités. Cette lettre servait de préface