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M. Mehren a étudié une série de traités mystiques d'Avicenne : le Hây ben Yakzân qui fut composé dans la forteresse de Ferdadjân et qui eut beaucoup de célébrité au moyen âge; Aben Ezra l'imita; le Traité de l'oiseau (risâlet el-taïr), commenté en persan par Safédji; la Réfutation des astrologues; le Traité sur l'amour; le Traité sur le destin (risâlet el-kadr) qui fut composé sur le chemin d'Ispahan, lorsque le philosophe s'y rendit en fugitif après avoir quitté Hamadan. Dans le même ordre d'idées, il convient de citer le mythe de Salâmân et d'Absâl, étudié,
Djouzdjâni et d'autres auteurs ont parlé d'un ouvrage d'Avicenne, qui doit être un ouvrage principalement mystique, avec l'air d'y attacher un grand prix. C'est celui que l'on nomme ordinairement la Philosophie orientale (el-hikmet el-machrakïet) et qu'il vaudrait sans doute mieux appeler la Philosophie illuminative (el-hikmet el-mochrikïet). Djouzdjâni dit que cet ouvrage ne se trouve pas au complet. Ibn Tofail en parle en ces termes dans son Hây ben Yakzân qu'il ne faut pas confondre avec celui d'Avicenne : «Avicenne composa le Chifâ selon la doctrine des péripatéticiens; mais celui qui veut la vérité complète sans obscurité doit lire sa Philosophie illuminative.» Averroës en fait mention dans sa Destruction de la destruction
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