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Mis à jour: 7 juin 2025
En même temps qu'en Suisse se manifestait l'égoïsme de la politique anglaise, elle éclatait ailleurs en d'autres traits. Willot, toujours impatient, toujours plein de feu, pressé de passer sur le continent, était retenu
Le général Willot a mal
Le roi, après le départ des négociateurs, attendit avec impatience le retour de celui d'entre eux qui s'était rendu auprès du tsar. Cette affaire Barras coïncidait avec la mise en marche des armées alliées, avec les offres et les plans de Pichegru, de Dumouriez, de Willot. On pouvait maintenant juger de l'effet du concours de ces généraux, de l'appui qu'ils donneraient aux coalisés: Pichegru en pénétrant en France par la frontière de l'Est, soutenu par les Russes, et en prenant possession, au nom du roi, de la Franche-Comté, où la cause des Bourbons comptait des défenseurs jusque parmi les officiers supérieurs commandant la place de Besançon; Willot en entrant, derrière les Autrichiens, par le Dauphiné et la Provence, tandis que Précy soulèverait Lyon, le Puy, Rodez et Mende; Dumouriez, enfin, en débarquant en Normandie
À ces vues, Willot, encore qu'il les eût inspirées et qu'il les partageât, présentait deux objections, l'une purement stratégique, l'autre tirée de raisons d'une autre nature, dont l'expression était comme un écho de son patriotisme affaibli ou aveuglé. Il ne voulait pas opérer le débarquement aux Martigues, «une crapaudière sans enceinte,» et Dumouriez lui conseillait alors de débarquer
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