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Mis à jour: 24 juin 2025
«En 1824, M. de Chateaubriand est encore destitué, et c'est par MM. de Villèle et Corbière, devenus ministres, qu'il est sacrifié. Chose singulière! en 1816, il fut puni d'avoir parlé; en 1824, on le punit de s'être tu; son crime est d'avoir gardé le silence dans la discussion sur la loi des rentes. Toutes les disgrâces ne sont pas des malheurs; l'opinion publique, juge suprême, nous apprendra dans quelle classe il faut placer M. de Chateaubriand; elle nous apprendra aussi
M. de Villèle disait vrai: c'était sa fidélité intelligente aux intérêts de son parti, sa patiente persévérance
Les démissions de MM. de Villèle et de Corbière ne tardèrent pas
Et qu'y gagnera le trésor? À moins que le propriétaire, selon le voeu de M. de Villèle, ne boive tout son vin, de recouvrer le droit un peu plus tôt. On dira sans doute que l'art. 14 du projet remédie
Sosthène en profita pour arriver, un beau matin, dans le cabinet de monsieur de Villèle. Après quelques phrases d'affection, il lui rappela les sentiments patriotiques qu'il exprimait lorsqu'il cherchait le ministère, uniquement dans l'intérêt du pays, parce que l'opinion publique l'y appelait; et, partant de cette base, il l'avertit que l'opinion publique se déclarait fortement contre son administration. Mieux situé qu'un autre par ses relations avec toutes les classes de la société pour s'en apercevoir, il venait lui faire part de ses découvertes. Il lui était évident qu'il n'était plus au pouvoir de monsieur de Villèle de faire le bien, et, comme il ne l'avait placé où il était que dans l'intention d'être utile au Roi et au pays, il venait le sommer, au nom de l'amitié, de l'honneur, de la reconnaissance, de ne pas le compromettre plus longtemps en s'obstinant
Sous le ministère Villèle, il eut
«M. de Villèle aura
Avant de changer de sujet, je demande la permission de revenir sur mes pas et de me soulager d'un fardeau. Je ne suis pas entré sans souffrir dans le détail de mon long différend avec M. de Villèle. On m'a accusé d'avoir contribué
Au moment où se forma son cabinet, M. de Villèle trouva le pays et le gouvernement engagés dans une situation violente. Ce n'était plus seulement des orages de Chambre et des tumultes de rue; les sociétés secrètes, les complots, les insurrections, un effort passionné pour le renversement de l'ordre établi, fermentaient et éclataient partout, dans les départements de l'Est, de l'Ouest, du Midi,
On lui dit un jour: Mais, pour parler ainsi de M. de Villèle et d'Armand Carrel, de M. de Jouy et de Victor Hugo, de madame de Souza et de madame de Girardin, d'Alfred de Musset et de Stendhal, quel âge avez-vous donc? Et elle répondit: J'ai l'âge de ma marraine, l'âge de mon père et quelquefois le mien.
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