Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 28 octobre 2025


Mademoiselle de la Vergne eut le bonheur d'avoir un père en qui le mérite égaloit la tendresse. Il prit soin lui-même de l'éducation de sa fille, et cette éducation fut

Le cardinal de Retz, qui connaissait bien Mme de la Vergne, nous la dépeint comme honnête femme au fond, mais intéressée au dernier point, et plus susceptible de vanité pour toutes sortes d'intrigues sans exception que femme qu'il eût jamais connue. Il raconte en effet qu'il détermina la bonne dame

»Quoi! ils ne sont plus dans Paris, m'écriai-je, un peu désappointé. »Oh! ils ne sont pas loin, reprit la mère Noël, ils n'ont pas quitté les environs de la Grande vergne, j'ai même encore l'avantage de les voir de loin

Madame d'Olonne (Catherine-Henriette d'Angennes), parente du marquis de Rambouillet, étoit l'aînée des deux filles du baron de La Loupe. Avant son mariage, «elle estoit jolie, dit Retz (Mémoires, p. 341 de l'édition Michaud); elle estoit belle, elle estoit précieuse par son air et par sa modestieMademoiselle de La Vergne, celle qui fut madame de La Fayette, en avoit fait son amie; elle étoit choyée au Luxembourg, et mademoiselle de Montpensier la distinguoit, quoiqu'elle ne brillât peut-être pas par l'originalité de son esprit. Dès 1652, Guy Joly, d'accord avec Retz, la désigne comme «l'une des plus belles personnes de France». Retz faisoit plus que de la trouver jolie et précieuse: un peu dégoûté de mademoiselle de Chevreuse, il entreprenoit,

Mademoiselle de la Vergne, avec beaucoup d'esprit et tout le latin que lui avait enseigné Ménage, n'était pas d'un établissement facile. Son bien était petit. Elle avait perdu son père. Sa mère, fort écervelée et quelque peu intrigante, n'avait pas une très bonne réputation. Elle n'avait pas su garder sa fille

Quelque réalité se cache-t-elle derrière cette malice du gazetier? Marie de la Vergne avait-elle cru effectivement que la fête serait pour elle, et l'homme qui épousa sa mère avait-il en secret fait battre son cœur? Ici tout est conjecture, et rien, il faut le reconnaître, ne vient au premier abord appuyer cette supposition. Le chevalier Renauld de Sévigné qui épousait Mme de la Vergne était âgé de trente-neuf ans. Quelle apparence y a-t-il qu'il ait plu, sans y tâcher,

Les autres pièces qui peuvent présenter quelque intérêt, sont d'abord le contrat de mariage de Mme de la Fayette elle-même. Marie-Madeleine Pioche de la Vergne adopta dans son contrat de mariage la coutume de la ville et vicomté de Paris, qui était et qui est encore le régime de la communauté réduite aux acquêts. Elle mettait dans la communauté dix mille livres, son mari vingt mille, le surplus de leurs biens restant propre. Le mari constituait

Sur la placarde de vergne, Lonfa malura dondaine, Il nous faudrait gambiller, Lonfa malura dondé. Sur la placarde de Vergne Il nous faudrait gambiller, Allumés de toutes ces largues Lonfa malura dondaine, Et du trepe rassemblé , Lonfa malura dondé.

«Parmi les personnes considérables de l'un et de l'autre sexe mortes depuis peu de temps, nous nommerons dame Marguerite de la Vergne. Elle était veuve de M. le comte de la Fayette, et tellement distinguée par son esprit et son mérite qu'elle s'était acquis l'estime et la considération de tout ce qu'il y avait de plus grand en France. Lorsque sa santé ne lui a plus permis d'aller

Cependant Marie de la Vergne ne se laissa pas rebuter: La belle, consultée Sur son futur époux, Dit dans cette assemblée Qu'il paraissait si doux Et d'un air fort honnête, Quoique peut-être bête. Mais qu'après tout pour elle un tel mari

Mot du Jour

calderon

D'autres à la Recherche