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Les bons vergers

Les Vergers Illusoires. Bruxelles, Librairie de l'Art indépendant, 1892.

Ou bien encore il pouvait faire un tour aux jardins des plantes médicinales de Saint-James, ou profiter de la marée basse pour aller par la rivière jusqu'aux vergers de cerisiers de Rotherhithe, ou se rendre en voiture

Et après Messine, c'est le Bugue, le pays paternel, la petite ville périgourdine le poète a trouvé un abri; le cercle de coteaux qui défend le vallon, et les vergers et les épis, et les rochers gris du Cingle, et la Vézère qui coule, oblique, au pied des vignes: La Vézère fuyant entre ses bords fleuris Au lit de la Dordogne, le beau fleuve épris

Ne vous étonnez pas, me dit quelqu'un. Les Capcorsiens sont des marins, des colonisateurs, des hommes qui courent le monde. Dans tous les villages vous remarquerez, comme ici, des maisons bien construites, des villas entourées de jardins et de vergers, et aussi des tombeaux élevés

Kobus, debout devant une fenêtre, regardait par-dessus les toits des maisons en face, l'immense vallée bleuâtre: les prairies au fond, dans la gorge, avant les prairies, les vergers remplis d'arbres fruitiers, les petits jardins entourés de palissades vermoulues ou de haies vives, et, tout autour, les sombres forêts de sapins; cela lui rappelait sa ferme de Meisenthâl!

Le Monténégrin, loin d'avoir la rudesse et la grossièreté qui sont l'ordinaire partage des peuples militaires, est, au contraire, fin, intelligent, habile, on pourrait presque dire diplomate. Il a même une réputation de négociant consommé. Les voyageurs prétendent que la vie militaire est bien plutôt pour le Monténégrin la suite d'une position géographique que le résultat d'un penchant naturel. Voyez, disent ces voyageurs, quelle patience, quels efforts ont déployer les laboureurs monténégrins pour couvrir leurs abruptes sommets, leurs déserts pierreux de champs, de moissons, de vignes et de vergers? Le Monténégrin aime l'agriculture, il s'y livre avec une espèce de passion; chasseur, pêcheur, ouvrier habile en outils, en ustensiles, en pipes, en tabatières, ouvrez-lui un débouché vers la mer, et vous verrez l'industrie régner dans ses montagnes; et peut-être ne tardera-t-elle pas

En effet, dans les jardins, dans les potagers, dans les vergers, se manifestaient des symptômes extrêmement curieux. Les plantes grimpantes grimpaient avec plus d'audace. Les plantes touffantes «touffaient» avec plus de vigueur. Les arbustes devenaient des arbres. Les graines,

Dans un autre endroit: Plus avant ils trouverent une belle Rivière, plus grande & plus profonde que la Seine. Elle étoit bordée des plus beaux arbres du monde, comme si on les y avoit plantés exprès, & l'on y voyoit des prairies d'un côté & des bois de l'autre. On la passa avec des Canaux, & on l'appella la Maligne. En passant ainsi au travers de ces beaux Pays, de ces campagnes & de ces prairies charmantes, bordées de vignes, de vergers, d'arbres fruitiers, & entr'autres de meurriers... «Après quelques jours de marche, on entra dans des Contrées encore plus agréables & beaucoup plus délicieuses, nous trouvames une Nation nombreuse, qui nous reçut avec toutes sortes de témoignages d'amitié. Les femmes mêmes alloient embrasser les hommes qui étoient de notre Troupe. Elles les firent asseoir sur des nattes très-bien travaillées...» Beaucoup plus loin le Missionnaire rapporte qu'on trouva des peuples qui n'ont rien de barbare que le nom. Un de ces Sauvages, qui fut le premier qu'on rencontra, revenoit de la chasse avec sa famille. Il fit présent au Chef des François d'un de ses chevaux, & de quelque viande, le priant par signes d'aller chez lui avec tous ses gens. Enfin pour les engager mieux il leur laissa volontairement sa femme, sa famille & sa chasse, comme pour leur servir de gages, & cependant il se rendit au Village, pour faire sçavoir leur arrivée. Au bout de deux jours, il revint avec des chevaux chargés de provisions, & plusieurs Chefs des Sauvages qui l'accompagnoient. Ils étoient suivis de guerriers habillés fort proprement de peaux passées & ornées de plumes. On les recontra

A gauche les vergers rajeunis, qu'effiloque Le vent de Juin, soufflant sur les massifs fleuris, Toute l'explosion de l'estivale époque, Blanche sous un azur jeune, brouillé de gris. Enfin par un dernier détour de sente verte, On parvient au village assis sur un plateau: La boucherie est l