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Mis à jour: 14 mai 2025


Mais nulle part la louable intention de défendre les saines croyances et de foudroyer le matérialisme ne s'est plus candidement étalée que dans le dernier roman de M. Feuillet, la Morte. Mlle Sabine Tallevaut séduit son voisin de campagne M. de Vaudricourt, et pour l'épouser, empoisonne sa femme. Au bout de six mois, elle déclare posément

Malgré tout, j'ai ressenti, en lisant la Morte, quelque chose du ravissement me jetaient les premières oeuvres de M. Octave Feuillet. Imaginez que Sibylle ne meure point et épouse Raoul: ce sera un peu le mariage de Vaudricourt; et Vaudricourt est proche parent de M. de Camors. Les deux premières parties du roman sont presque tout entières du Feuillet des meilleurs jours. Le comte-évêque et le vieux gentilhomme qui vit dans le XVIIe siècle, tant le nôtre l'écoeure, ne m'ont point déplu; et rien n'est gracieux comme la scène Vaudricourt, franchissant le saut-de-loup du parc, trouve Mlle Aliette en train de manger des groseilles. Je me suis même laissé prendre d'abord aux yeux «énigmatiques» (naturellement) de Mlle Sabine. On est touché, quoi qu'on fasse, de la mort d'Aliette, qui sait que Sabine lui verse du poison et qui se laisse mourir (un peu trop docilement), croyant son mari complice de l'empoisonneuse, et du désespoir de Vaudricourt quand il sait que sa femme l'a cru capable d'un crime et qu'il se dit qu'elle ne sera jamais désabusée, puisqu'il ne croit pas

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