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Mis à jour: 30 juin 2025
Il était écrit que les Vaudelnay de cette génération devaient tous mourir octogénaires. L'oncle Jean se guérit contre tout espoir et, comme sa blessure l'avait rendu plus patient, il voulut bien prêter l'oreille
D'ailleurs, sauf l'absence de l'oncle Jean, la couleur de nos costumes et une recrudescence effroyable dans la sévérité de la discipline, rien n'indiquait que les Vaudelnay venaient de perdre un des leurs, et ma pauvre cousine, j'aurais eu bien de la peine
La Révolution trouva le château de Vaudelnay peuplé des mêmes habitants que j'y avais trouvés moi-même, quelque cinquante ans plus tard. Je parle des ancêtres, cela va sans dire. Balthazar de Vaudelnay, le dernier marquis de l'ancien régime, venait de mourir juste
Si ma petite-fille est malade, c'est aux eaux que je dois la conduire. Je ne sais pas d'endroit plus humide que Vaudelnay. Mes rhumatismes peuvent en dire quelque chose. Quelle singulière lubie de ne pas vouloir venir chez nous! Comment expliquer cette résistance? Par la rancune du passé? Comme je me posais ces questions, nous entendîmes la voix de Rosie qui chantait dans l'antichambre.
Partir pour Vaudelnay! M'éloigner de l'adorable femme dont les lignes tendres, généreuses, consolantes reposaient sur mon coeur: comment avoir ce courage! Et pourtant juin finissait. Encore une quinzaine et ma dernière inscription de droit avant les vacances devait être prise. Quant aux examens, je n'aurais pas été moins préparé
Je suppose que mon père aura connu quelques heures pénibles en se retrouvant au château de Vaudelnay, triste comme une prison et sévère comme un cloître, après les deux années moins sévères et moins tristes, vraisemblablement, qu'il venait de passer
Puis la mort entra au château, et, quand elle connut le chemin de cette maison pleine de vieillards, elle y revint souvent comme si, la perfide! elle ne se plaisait qu'aux faciles besognes. L'un après l'autre, les ancêtres s'en allèrent tous dormir dans le caveau creusé sous notre chapelle. Alors l'oncle Jean, resté seul de sa génération, quitta Vaudelnay, lui aussi, avec sa petite-fille, héritière de quelques milliers d'écus laissés par la tante Frédérique. L'autre, la tante Alexandrine,
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