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Il en fut si troublé, le pauvre Valmajour, que c'est

«Oh! de ce Valmajour, pas moinsSubitement la verve du vieux tomba, son geste de pantin fut coupé en deux par l'apparition devant lui d'une coiffe provençale, toute frémissante. Qu'est-ce que vous faites l

Ah! si on lui avait fait faire un papier. C'était devenu son idée fixe, et, tous les matins, quand Valmajour partait pour le ministère, elle avait bien soin de tâter la feuille timbrée dans la poche de son paletot.

Il parcourut l'article, d'un de ces prompts regards d'homme public, habitué aux invectives de la presse. «...Ministre de province..., joli batteur d'entrechats... le Roumestan de Valmajour... sifflé le ministère et crevé son tambourin...» Il en eut assez, cacha la méchante feuille dans la profondeur de ses poches, puis se leva en soufflant la colère qui lui gonflait le visage, et prenant le bras de madame Le Quesnoy: «Allons dîner, maman... Ça m'apprendra

Valmajour, l'air fat, très entouré de femmes, de journalistes, se tenait debout devant la cheminée. Le correspondant étranger l'interrogeait brutalement, non plus de ce ton patelin dont il scrutait les ministres dans les audiences particulières; mais sans se troubler, le paysan lui répondait par le récit stéréotypé sur ses lèvres: «Ce m'est vénu de nuit, en écoutant çanter le rossignoou...» Il fut interrompu par mademoiselle Le Quesnoy, qui lui tendait un verre et une assiette remplis

Le pauvre Valmajour ne le préoccupait guère. Il y avait un autre début, plus sérieux pour lui, ce soir-l

Valmajour salua sans un mot, tourna sur ses talons et descendit le large tapis de l'estrade sa caisse au bras, la tête droite, avec ce léger déhanchement du Provençal, ami du rythme et de la danse. En bas des camarades l'attendaient, lui serraient les mains. Puis un cri retentit: «La farandoleclameur immense, doublée par l'écho des voûtes, des couloirs, d'où semblaient sortir l'ombre et la fraîcheur qui envahissaient maintenant les arènes et rétrécissaient la zone du soleil. À l'instant le cirque fut plein, mais plein

«Comme c'est tristedisait Hortense, regrettant le tambourin de Valmajour; mais ce n'était pas triste pour Numa. Son enfance avait vécu l

«Il s'appelle vraiment Valmajour? Certainement... des princes des Baux... c'est le dernierEt la légende court, se répand, s'enjolive, un vrai roman de George Sand.

Alors, il nous faudra partir? demanda la paysanne, songeuse, sans bouger. M. le ministre désire que ce soit le plus tôt possible... Il a hâte de vous savoir chez vous, heureux comme auparavant. Valmajour l'ancien risqua un coup d'oeil vers les billets: «Moi, ça me paraît raisonnable... qué n'en disés