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Mis à jour: 4 juin 2025
En bas, dans la rue des Voyards, Henriette eut une courte hésitation, tellement la ville lui sembla noire encore, sous le brouillard opaque qui la noyait. Le petit jour n'était point descendu jusqu'au pavé humide, entre les vieilles façades enfumées. Rue au beurre, au fond d'un cabaret borgne, où clignotait une chandelle, elle n'aperçut que deux turcos ivres, avec une fille. Il lui fallut tourner dans la rue Maqua, pour trouver quelque animation: des soldats furtifs dont les ombres filaient le long des trottoirs, des lâches peut-être, en quête d'un abri; un grand cuirassier perdu, lancé
Ce sont eux encore «les turcos», comme persiste
Beaudoin, si correct, si joliment tenu d'habitude, était en effet pitoyable, l'uniforme souillé, la face et les mains noires. Exaspéré, il venait de faire route avec des turcos, sans pouvoir s'expliquer comment il avait perdu sa compagnie. Ainsi que tous, il se mourait de faim et de fatigue; mais ce n'était pas l
Quelques-uns, moins affamés, allèrent essayer de fraterniser avec les turcos, qui déj
Notre garnison se trouvait composée de troupes de toute nature, débris de régiments écharpés, fuyards, maraudeurs séparés des corps d'armée. Nous avions de tout enfin, même onze turcos arrivés un soir on ne sait comment, on ne sait par où. Ils s'étaient présentés aux portes de la ville, harrassés, déguenillés, affamés et saouls. On me les donna.
composée de troupes de toute nature, débris de régiments écharpés, fuyards, maraudeurs, séparés des corps d'armée. Nous avions de tout enfin, même onze turcos arrivés un soir on ne sait comment, on ne sait par où. Ils s'étaient présentés aux portes de la ville, harassés, déguenillés, affamés et saouls. On me les donna.
Notre garnison se trouvait composée de troupes de toute nature, débris de régiments écharpés, fuyards, maraudeurs séparés des corps d'armée. Nous avions de tout enfin, même onze turcos arrivés un soir on ne sait comment, on ne sait par où. Ils s'étaient présentés aux portes de la ville, harassés, déguenillés, affamés et saouls. On me les donna.
J'arrivai sur les Chinois comme Mohammed tombait, et j'entends encore de sa gorge crevée sortir le flot de sang rendant le son d'un tuyau qui se vide... Puis je ne vis plus rien... Je déchargeai mon revolver devant moi, au hasard... Mes turcos enfonçaient leurs baïonnettes dans les poitrines jaunes... J'étais fou de colère... Il me semblait que c'était moi, moi qui venais d'assassiner Mohammed-ben-Saïda.
Heureusement, pour me calmer, des tableaux moins chargés apparaissent. Trois ou quatre personnages tout au plus: des turcos hideusement noirs et des zouaves effrayants, aux longues moustaches en croc, embrochant des Russes qui joignent les mains et des Autrichiens tombés
Ou bien: «M. de Bismarck nous reproche de faire usage des turcos!... Tout ce que nous pouvons vous promettre, Monsieur de Bismarck, c'est que le turco, devenu Français maintenant, y mettra de la décence, il n'abusera pas trop du... Prussien.» Les chansons sont plus sérieuses, mais aussi belles: Puisque c'est l'heure de la haine, Faisons parler les chassepots...
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